Comme un malheur ne vient jamais seul, le gérant du bar rendu tristement célèbre par l’affaire des cinq lesbiennes qui se sont adonnés à des actes contre-nature dans ce lieu de distraction risque de se retrouver à la rue. En effet, il se susurre que son commerce serait dans le viseur des autorités.
Un bruit qui court mais pas assez costaud pour mettre Mbaye Niang sur le qui-vive. Le gérant du bar qui est au centre de toutes les discussions à Yoff et dans toutes les chaumières de la capitale, est loin d’être ébranlé par cette annonce. Une sérénité qui pourrait s’expliquer par le fait que Mbaye Niang n’a jusqu’à ce jour reçu aucune notification de cette décision qu’auraient prise les autorités à l’encontre de son bar-restaurant. C’est en tout cas ce qu’il confie à nos confrères de l’Obs. « Je n’ai pas encore reçu de notification écrite des autorités m’intimant l’ordre de fermer mon restaurant bar », dit-il. Par ailleurs, l’Observateur nous apprend qu’il a failli être expulsé par son bailleur qui n’est pas content des transformations effectuées dans sa villa sans son aval, mais aussi du non-respect des clauses contenues dans le contrat signé avec lui.
Les cinq lesbiennes qui lui ont valu tous ses déboires en ont autant puisque déférées au parquet le mercredi dernier, elles ont été placées sous mandat de dépôt à la prison pour femmes sise à Liberté 6. Leur procès pour actes contre-nature et attentat à la pudeur se tiendra ce lundi.
Un bruit qui court mais pas assez costaud pour mettre Mbaye Niang sur le qui-vive. Le gérant du bar qui est au centre de toutes les discussions à Yoff et dans toutes les chaumières de la capitale, est loin d’être ébranlé par cette annonce. Une sérénité qui pourrait s’expliquer par le fait que Mbaye Niang n’a jusqu’à ce jour reçu aucune notification de cette décision qu’auraient prise les autorités à l’encontre de son bar-restaurant. C’est en tout cas ce qu’il confie à nos confrères de l’Obs. « Je n’ai pas encore reçu de notification écrite des autorités m’intimant l’ordre de fermer mon restaurant bar », dit-il. Par ailleurs, l’Observateur nous apprend qu’il a failli être expulsé par son bailleur qui n’est pas content des transformations effectuées dans sa villa sans son aval, mais aussi du non-respect des clauses contenues dans le contrat signé avec lui.
Les cinq lesbiennes qui lui ont valu tous ses déboires en ont autant puisque déférées au parquet le mercredi dernier, elles ont été placées sous mandat de dépôt à la prison pour femmes sise à Liberté 6. Leur procès pour actes contre-nature et attentat à la pudeur se tiendra ce lundi.