Le Néo-Zélandais Nigel Richards est devenu champion du monde de Scrabble francophone. Lundi 20 juillet en Belgique en s'imposant en finale deux manches à une. Un exploit qu'il a réussi sans parler français. Son secret : il a appris L'Officiel du Scrabble en un peu plus de deux mois.
Chez les anglophones, Nigel Richards est une star. Le Néo-Zélandais a remporté plusieurs titres de champion du monde de Scrabble Chez les francophones, en revanche, c'est un parfait inconnu. Nigel Richards a pourtant remporté la finale du tournoi de Scrabble en un contre un organisé à Louvain-la-Neuve, en Belgique, face au Gabonais Schélik Rekawe.
La clé de sa réussite est assez simple mais rébarbative. En deux mois, il a appris tous les tirages possibles et les différentes combinaisons de lettres, sans même comprendre les mots qu'il posait. En plus, le Néo-Zélandais maîtrise la grille à la perfection et sait bloquer son adversaire à presque tous les coups. Autant de facultés qui lui ont permis de réaliser cet exploit.
Durant la finale, Nigel Richards a réalisé quelques coups d'exception. Lorsque son adversaire pose le mot « furetées », le Néo-Zélandais conteste : le verbe fureter est intransitif. Après avoir obtenu gain de cause, il pose dans la foulée « buquée » au même endroit. Il se débarrasse ainsi de son Q et bloque la place que voulait prendre Schélik Rekawe. C'est le bon coup de la partie, celui qui lui donne la victoire.
Chez les anglophones, Nigel Richards est une star. Le Néo-Zélandais a remporté plusieurs titres de champion du monde de Scrabble Chez les francophones, en revanche, c'est un parfait inconnu. Nigel Richards a pourtant remporté la finale du tournoi de Scrabble en un contre un organisé à Louvain-la-Neuve, en Belgique, face au Gabonais Schélik Rekawe.
La clé de sa réussite est assez simple mais rébarbative. En deux mois, il a appris tous les tirages possibles et les différentes combinaisons de lettres, sans même comprendre les mots qu'il posait. En plus, le Néo-Zélandais maîtrise la grille à la perfection et sait bloquer son adversaire à presque tous les coups. Autant de facultés qui lui ont permis de réaliser cet exploit.
Durant la finale, Nigel Richards a réalisé quelques coups d'exception. Lorsque son adversaire pose le mot « furetées », le Néo-Zélandais conteste : le verbe fureter est intransitif. Après avoir obtenu gain de cause, il pose dans la foulée « buquée » au même endroit. Il se débarrasse ainsi de son Q et bloque la place que voulait prendre Schélik Rekawe. C'est le bon coup de la partie, celui qui lui donne la victoire.