M. Diallo s'exprimait, jeudi, à l'occasion d'une réunion d'information et de sensibilisation sur la lutte contre blanchiment d'argent et le financement de la criminalité au Sénégal.
La rencontre est organisée à l'attention des acteurs économiques du département de Mbour.
"Le blanchiment d'argent est une infraction de conséquence et les infractions commises qui ont produit de l'argent sale suivent les canaux de l'activité économique internationale, d'une manière générale. Cela s'est traduit par une mondialisation de l'activité criminelle", a déclaré le président du CENTIF au cours de la rencontre.
Selon lui, il est nécessaire de mettre à niveau tous le acteurs qui interviennent dans la vie économique pour pouvoir débusquer ces criminels économiques.
"Il y a deux voies pour arriver à lutter contre la criminalité économique, empêcher les acteurs de se manifester et d'agir. On empêche ces acteurs d'entreprendre des activités criminelles ou bien de les sanctionner lorsqu'ils entreprennent ces activités criminelles", a indiqué Demba Diallo.
Pour cela, Diallo estime qu'il faut mettre en place ''une synergie de toutes les parties prenantes, pour une efficacité des instruments de lutte contre le blanchiment d'argent''.
"Et puisque nous sommes dans le domaine économique, ce sont les acteurs économiques qui sont concernés. Et pour que ces derniers puissent intervenir dans la lutte, il faut qu'ils soient sensibilisés, formés", a dit Demba Diallo.
Le choix du département de Mbour s'explique par ''sa spécificité d'être une sorte de microcosme économique grâce au tourisme, à la pêche, mais aussi à sa position stratégique de centrale d'échanges'', a dit Diallo.
"Nous avons ainsi pensé que si les acteurs économiques de Mbour sont suffisamment informés et formés, et qu'ils fassent la démultiplication au niveau de leurs correspondants, nous avons beaucoup plus de chances de toucher le maximum de personnes dans le cadre de la lutte contre la criminalité financière", a fait valoir le président de la CENTIF.
La CENTIF, créée en 2004, est composée de six membres nommés par décret pour un mandat de trois ans renouvelable une fois.
La rencontre est organisée à l'attention des acteurs économiques du département de Mbour.
"Le blanchiment d'argent est une infraction de conséquence et les infractions commises qui ont produit de l'argent sale suivent les canaux de l'activité économique internationale, d'une manière générale. Cela s'est traduit par une mondialisation de l'activité criminelle", a déclaré le président du CENTIF au cours de la rencontre.
Selon lui, il est nécessaire de mettre à niveau tous le acteurs qui interviennent dans la vie économique pour pouvoir débusquer ces criminels économiques.
"Il y a deux voies pour arriver à lutter contre la criminalité économique, empêcher les acteurs de se manifester et d'agir. On empêche ces acteurs d'entreprendre des activités criminelles ou bien de les sanctionner lorsqu'ils entreprennent ces activités criminelles", a indiqué Demba Diallo.
Pour cela, Diallo estime qu'il faut mettre en place ''une synergie de toutes les parties prenantes, pour une efficacité des instruments de lutte contre le blanchiment d'argent''.
"Et puisque nous sommes dans le domaine économique, ce sont les acteurs économiques qui sont concernés. Et pour que ces derniers puissent intervenir dans la lutte, il faut qu'ils soient sensibilisés, formés", a dit Demba Diallo.
Le choix du département de Mbour s'explique par ''sa spécificité d'être une sorte de microcosme économique grâce au tourisme, à la pêche, mais aussi à sa position stratégique de centrale d'échanges'', a dit Diallo.
"Nous avons ainsi pensé que si les acteurs économiques de Mbour sont suffisamment informés et formés, et qu'ils fassent la démultiplication au niveau de leurs correspondants, nous avons beaucoup plus de chances de toucher le maximum de personnes dans le cadre de la lutte contre la criminalité financière", a fait valoir le président de la CENTIF.
La CENTIF, créée en 2004, est composée de six membres nommés par décret pour un mandat de trois ans renouvelable une fois.