De l’ordre ! C’est ce que le président de la République veut voir dans les rangs de l’armée qui vient d’accueillir la gente féminine en son sein. C’est à cet effet qu’il a pris un décret daté du 21 octobre dernier pour régir les mariages dans ce corps. Désormais, il n’est plus permis aux supérieurs de s’acoquiner avec leurs subalternes en vue d’une relation d’une relation extra-travail. Le décret prône drastiquement la séparation entre les dortoirs, toilettes, lieux de punition des deux corps et l’interdiction à chacun de fréquenter l’autre, pour une raison que celle du service.
Mais du coté des militaires, on jase. On geint. Selon une caporale qui s’est confiée à l’Obs, ce décret ne saurait prospérer. A l’en croire, les militaires qui seraient épris l’un de l’autre n’ont commis aucune faute pour mériter un tel sort.
Même son de cloche chez un adjudant en fonction au Camp Dial Diop. Ce dernier est convaincu qu’en matière de relation amoureuse, il n’y a pas de catégorisation qui tienne.
Un avis qu’il ne partage pas cependant avec le commandant de brigade qui trouve que le décret que le décret est venu à son heure. Et il ne manque pas de raisons. Selon lui, certains chefs usent souvent de leur autorité pour contraindre des subalternes à des pratiques peu orthodoxes. Comme quoi, les militaires ne savent pas qu’obeir aux ordres.
Pendant ce temps, les paramilitaires craignent que ce décret ne s’étend à leurs corps. Ce qui serait malheureux, car estiment-ils, cela ne ferait que creuser davantage le fossé entre personnel féminin et masculin ».
Mais du coté des militaires, on jase. On geint. Selon une caporale qui s’est confiée à l’Obs, ce décret ne saurait prospérer. A l’en croire, les militaires qui seraient épris l’un de l’autre n’ont commis aucune faute pour mériter un tel sort.
Même son de cloche chez un adjudant en fonction au Camp Dial Diop. Ce dernier est convaincu qu’en matière de relation amoureuse, il n’y a pas de catégorisation qui tienne.
Un avis qu’il ne partage pas cependant avec le commandant de brigade qui trouve que le décret que le décret est venu à son heure. Et il ne manque pas de raisons. Selon lui, certains chefs usent souvent de leur autorité pour contraindre des subalternes à des pratiques peu orthodoxes. Comme quoi, les militaires ne savent pas qu’obeir aux ordres.
Pendant ce temps, les paramilitaires craignent que ce décret ne s’étend à leurs corps. Ce qui serait malheureux, car estiment-ils, cela ne ferait que creuser davantage le fossé entre personnel féminin et masculin ».
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