Cheikhna Cheikh Sadibou Keita n’est plus le directeur de l’Ocrtis (Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants). Il a été démis de ses fonctions hier et remplacé par Mame Seydou NDOUR qui, jusque-là, était à l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime. Mais dans les rangs de ce détachement de la police nationale, le limogeage du commissaire Keita sonne comme un tsunami. Un tremblement de terre d’autant que l’homme qui a été promu à ce poste en novembre 2012, en remplacement de l’actuel directeur de la sureté nationale, Abdoulaye Niang, a abattu un travail de titan. En atteste l’affaire de trafic de drogue mettant en cause un haut gradé de la police qu’il a mené avec tact et dont le rapport est sur la table du Président de la République.
En effet, le commissaire Keita a fait arrêter un nigérian du nom de Raymond Ike Akpo qui, cuisiné mouillera jusqu'à la moelle un haut gradé de la police en confiant aux enquêteurs qu’il réussissait ses coups grâce à la complicité d’un influent limier. Une confidence qui a failli mettre sens dessus-dessous le cercle fermé des piliers de la police nationale.
Et selon des sources dignes de foi, cette affaire ne serait étrangère au limogeage du commissaire Keita dont la témérité et le sérieux sont indiscutables. Certains hauts gradés de la police qui ont été cités par le nigérian trafiquant de drogue, n’ont pas aimé le fait qu’il mette son nez là où il ne devait pas. Conséquence : la guillotine lui a tranché la gorge avant même qu’il ne s’en aperçoive.
En effet, le commissaire Keita a fait arrêter un nigérian du nom de Raymond Ike Akpo qui, cuisiné mouillera jusqu'à la moelle un haut gradé de la police en confiant aux enquêteurs qu’il réussissait ses coups grâce à la complicité d’un influent limier. Une confidence qui a failli mettre sens dessus-dessous le cercle fermé des piliers de la police nationale.
Et selon des sources dignes de foi, cette affaire ne serait étrangère au limogeage du commissaire Keita dont la témérité et le sérieux sont indiscutables. Certains hauts gradés de la police qui ont été cités par le nigérian trafiquant de drogue, n’ont pas aimé le fait qu’il mette son nez là où il ne devait pas. Conséquence : la guillotine lui a tranché la gorge avant même qu’il ne s’en aperçoive.