Le djihadiste français Gilles Le Guen, arrêté au Mali fin avril, a été mis en examen vendredi soir pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, apprend-on de source judiciaire.
La mise en examen s'appuie sur une nouvelle loi de décembre 2012 relative à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme qui permet de juger les actes commis par des Français à l'étranger, précise-t-on de même source.
Pendant sa garde à vue, le djihadiste a refusé d'être assisté par un avocat. Il a indiqué avoir rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), sans que sa participation aux combats contre l'armée française soit formellement établie, explique-t-on.
Gilles Le Guen, qui avait mis en garde la France début octobre dans une vidéo contre une intervention militaire au Mali, a été arrêté à Tombouctou fin avril par l'armée française avant d'être remis aux autorités maliennes.
Son arrivée en France a été rendue publique mardi par le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.
La mise en examen s'appuie sur une nouvelle loi de décembre 2012 relative à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme qui permet de juger les actes commis par des Français à l'étranger, précise-t-on de même source.
Pendant sa garde à vue, le djihadiste a refusé d'être assisté par un avocat. Il a indiqué avoir rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), sans que sa participation aux combats contre l'armée française soit formellement établie, explique-t-on.
Gilles Le Guen, qui avait mis en garde la France début octobre dans une vidéo contre une intervention militaire au Mali, a été arrêté à Tombouctou fin avril par l'armée française avant d'être remis aux autorités maliennes.
Son arrivée en France a été rendue publique mardi par le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.