Comme s’il ne suffisait pas de l’exécuter atrocement, l’Etat gambien souille la mémoire de la sénégalaise Tabara Samba. Le ministre gambien de la Justice, qui remplit les fonctions de Procureur général n’a pas porté de gants pour traiter la sénégalaise de ce qu’on pourrait appeler calamité pour l’humanité. « Quelqu’un comme Tabara Samba ne mérite pas de vivre un seul jour de plus », a-t-il assuré.
Pour Lamine Jobarteh qui a assisté à l’exécution des personnes condamnées à mort, ces dernières ont commis des crimes crapuleux avant d’être reconnus coupables par les tribunaux. Faisant de l’affaire Tabara Samba un cas spécial, histoire de remuer le couteau dans la plaie, le garde des Sceaux gambien dira que la défunte a versé de l’huile chaude dans l’oreille de son mari qui a en quelque sorte brulé de l’intérieur et à petit feu.
Selon Libération, après avoir mis l’assistance au parfum du modus operandi de la sénégalaise, Jobarteh demande à ses interlocuteurs : « Mais quel pays du monde va accepter cela ?». Seulement, il semble ignorer que pendant ce temps, aucun pays au monde ne fait violer des condamnés à mort avant leur exécution.
Pour Lamine Jobarteh qui a assisté à l’exécution des personnes condamnées à mort, ces dernières ont commis des crimes crapuleux avant d’être reconnus coupables par les tribunaux. Faisant de l’affaire Tabara Samba un cas spécial, histoire de remuer le couteau dans la plaie, le garde des Sceaux gambien dira que la défunte a versé de l’huile chaude dans l’oreille de son mari qui a en quelque sorte brulé de l’intérieur et à petit feu.
Selon Libération, après avoir mis l’assistance au parfum du modus operandi de la sénégalaise, Jobarteh demande à ses interlocuteurs : « Mais quel pays du monde va accepter cela ?». Seulement, il semble ignorer que pendant ce temps, aucun pays au monde ne fait violer des condamnés à mort avant leur exécution.