«Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir» !
Je suis loin d’être un adepte du «mouvement y-en a marre». Ce dernier étant de loin aux antipodes des nouvelles exigences sociales sénégalaises et côtoie de près les mouvements des plus médiocres et inutiles. Certes il faut leur reconnaitre un mérite indéniable: celui d’avoir existé et d’avoir fait long feu avec leur cortège de dégâts à la course à l’échalote. Mais, force est de reconnaitre aujourd’hui que la montagne a accouché d’une souris; de ce qui a été l’euphorie du moment pour monter en flèche et de se traduire en pseudo-intellectuels engagés dans la destitution d’un régime dûment légitimé par un peuple: Eurêka, Y-en a marre!
Il est tout à fait évident de voir aujourd’hui la désillusion navrante de ce qui saute aux yeux de douze millions de sénégalais: le mouvement y-en a marre n’a plus de sens, plus d’étiquette ni de raison d’exister; encore moins d’avoir été les «stars» du moment avec un idéal de «fou malade». Ils ont tout simplement, au petit bonheur la chance, mené un combat dont la seule vérité est actuellement en chasse gardée du régime de Macky Sall. Un combat aveugle à la bouche en cul de poule pour l’opposition ayant cependant fait autant de victimes qui pleurent aujourd’hui leurs disparus et qui hélas, jusqu’à ce jour n’a pas porté ses fruits. Pour preuve, Fadel Barro qui a l’air de revenir de pontoise, déclarait récemment à travers la presse que: «Macky n’est pas l’homme de la rupture tant attendue». Vous voulez rire?
Comme tout sénégalais qui «parle longtemps sans réagir, soit agit sans réfléchir», les membres du mouvement y-en a marre sont totalement mis à nus devant leurs semblables, complétement désarmés devant une institution forte et respectable qu’est Macky Sall, et en cours d’arguments qui d’ailleurs n’ont valu un clou. Loin de prétendre à une quelconque exhaustivité, si la problématique des questions actuelles sur le Sénégal sont analysées avec un mouvement dont le ratio intellectuel n’est pas plus développé que celui d’une mouche, nous n’atteindrons jamais le dernier carat. Rendez à César ce qui appartient à César, Macky Sall aurait bien raison de dire : «taisez-vous et laissez-nous travailler». Au lieu de tirer sur Macky Sall, ils devraient plus s’instruire et changer de fusil d’épaule. Ils tirent sur la mauvaise cible et fatiguent le peuple sénégalais avec le coup du père François. Et, inconsciemment perdent une grande énergie considérable sur le second plan au lieu de la vraie matière.
Le concept de nouveau type de Sénégalais ne devrait pas naître de faux jetons. Un concept n’est qu’une abstraction de la réalité, et la réalité me mène à rejeter jusqu’à la dernière énergie ce mouvement qui ne croit en aucun moment à leurs dires car étant égaré dans leur combat brouillant et contradictoire, sachant que l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Je m’en bats la couple et j’assume ma maladresse et mon imperfection devant les sénégalais, mais servir mon pays passe en premier lieu par leur dire la vérité: les membres du groupe y-en a marre devraient retourner à leurs micros, et à leurs «loisirs» car une «institution» ne saurait naitre dans le tas, ni dans le mensonge. N’ayant plus aucun objectif conjoncturel, et/ou structurel, il y en a vraiment marre de continuer à légitimer une action assimilée à la semaine des quatre jeudi.
Qu'on me fasse la grâce de ne pas se méprendre sur mes intentions: il ne s'agit en aucun cas d'une mise en accusation. Il s'agit simplement de rétablir une vérité inaliénable, respectueuse du travail méthodique qui est en train d’être effectué par le Gouvernement de Macky Sall pour le bien être des sénégalais, et du réveil de ces derniers en ce qui constitue à sauvegarder leurs intérêts. Et vous êtes loin d’en faire partie.
Cheikh NDAO
shakescheikh@yahoo.fr
Je suis loin d’être un adepte du «mouvement y-en a marre». Ce dernier étant de loin aux antipodes des nouvelles exigences sociales sénégalaises et côtoie de près les mouvements des plus médiocres et inutiles. Certes il faut leur reconnaitre un mérite indéniable: celui d’avoir existé et d’avoir fait long feu avec leur cortège de dégâts à la course à l’échalote. Mais, force est de reconnaitre aujourd’hui que la montagne a accouché d’une souris; de ce qui a été l’euphorie du moment pour monter en flèche et de se traduire en pseudo-intellectuels engagés dans la destitution d’un régime dûment légitimé par un peuple: Eurêka, Y-en a marre!
Il est tout à fait évident de voir aujourd’hui la désillusion navrante de ce qui saute aux yeux de douze millions de sénégalais: le mouvement y-en a marre n’a plus de sens, plus d’étiquette ni de raison d’exister; encore moins d’avoir été les «stars» du moment avec un idéal de «fou malade». Ils ont tout simplement, au petit bonheur la chance, mené un combat dont la seule vérité est actuellement en chasse gardée du régime de Macky Sall. Un combat aveugle à la bouche en cul de poule pour l’opposition ayant cependant fait autant de victimes qui pleurent aujourd’hui leurs disparus et qui hélas, jusqu’à ce jour n’a pas porté ses fruits. Pour preuve, Fadel Barro qui a l’air de revenir de pontoise, déclarait récemment à travers la presse que: «Macky n’est pas l’homme de la rupture tant attendue». Vous voulez rire?
Comme tout sénégalais qui «parle longtemps sans réagir, soit agit sans réfléchir», les membres du mouvement y-en a marre sont totalement mis à nus devant leurs semblables, complétement désarmés devant une institution forte et respectable qu’est Macky Sall, et en cours d’arguments qui d’ailleurs n’ont valu un clou. Loin de prétendre à une quelconque exhaustivité, si la problématique des questions actuelles sur le Sénégal sont analysées avec un mouvement dont le ratio intellectuel n’est pas plus développé que celui d’une mouche, nous n’atteindrons jamais le dernier carat. Rendez à César ce qui appartient à César, Macky Sall aurait bien raison de dire : «taisez-vous et laissez-nous travailler». Au lieu de tirer sur Macky Sall, ils devraient plus s’instruire et changer de fusil d’épaule. Ils tirent sur la mauvaise cible et fatiguent le peuple sénégalais avec le coup du père François. Et, inconsciemment perdent une grande énergie considérable sur le second plan au lieu de la vraie matière.
Le concept de nouveau type de Sénégalais ne devrait pas naître de faux jetons. Un concept n’est qu’une abstraction de la réalité, et la réalité me mène à rejeter jusqu’à la dernière énergie ce mouvement qui ne croit en aucun moment à leurs dires car étant égaré dans leur combat brouillant et contradictoire, sachant que l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Je m’en bats la couple et j’assume ma maladresse et mon imperfection devant les sénégalais, mais servir mon pays passe en premier lieu par leur dire la vérité: les membres du groupe y-en a marre devraient retourner à leurs micros, et à leurs «loisirs» car une «institution» ne saurait naitre dans le tas, ni dans le mensonge. N’ayant plus aucun objectif conjoncturel, et/ou structurel, il y en a vraiment marre de continuer à légitimer une action assimilée à la semaine des quatre jeudi.
Qu'on me fasse la grâce de ne pas se méprendre sur mes intentions: il ne s'agit en aucun cas d'une mise en accusation. Il s'agit simplement de rétablir une vérité inaliénable, respectueuse du travail méthodique qui est en train d’être effectué par le Gouvernement de Macky Sall pour le bien être des sénégalais, et du réveil de ces derniers en ce qui constitue à sauvegarder leurs intérêts. Et vous êtes loin d’en faire partie.
Cheikh NDAO
shakescheikh@yahoo.fr