La gestion des bourses de sécurité familiale ne peut pas être transparent. C’est un politicien candidat à la mairie de St louis et souteneur d'un futur candidat pour les présidentielles de 2017 qui s’occupe de la répartition des bourses de la honte (moins de 8000 par mois). J'ai lu ce matin, sur un quotidien la répartition des bourses pour la région de Diourbel : 4.030 ménages bénéficiaires.
Bambey : 1585
Diourbel : 1565
Mbacke : 880
Ou Mor Ngom 1585 ; Dame Diop (Dakar Dem Dikk) : 1565 Moustapha Cisse Lo : 880
Cette répartition ne s'explique pas.
Estimée à 12.855.153 habitants en 2011, la population du Sénégal a considérablement augmenté de 3.000.000 d’habitants entre 2002 (9.858.482 habitants) et 2011 avec un taux d’accroissement moyen annuel de 2,7%. En d’autres termes, la population augmente de plus de 900 personnes par jour, en s’appuyant sur les projections démographiques du recensement de 2002. Avec 6.348.578 d’hommes et 6.506.575 femmes, en 2011, ces dernières représentent 50,6% de la population contre 49,4% chez les hommes. (SES_2011 / ANSD)
Diourbel (10,9% de la population).
La population de la région de Diourbel est environ de 1399219 hab. La population urbaine est estimée a 891442 et pour le monde rural 507777. Bambey et Diourbel ne font même pas la moite de la population de Mbacké. Avec toutes les difficultés que rencontre les populations dans la zone de Touba, distribuer seulement 880 bourses de 100.000 F CFA par an, ne peut être que folklorique.
Pour rappel, d’après les données de l’Enquête de Suivi de la Pauvreté au Sénégal (ESPS II, 2010-2011), 6 367 733 personnes, soit 46,7% de la population sénégalaise vivent en dessous du seuil de pauvreté. Ce constat vient confirmer l'option du Sénégal d’ériger en priorité la prise en charge des groupes vulnérables et d'en faire un des piliers de la stratégie de réduction durable de la pauvreté.
Avec ces nombres et ces répartitions, ces groupes ne seront jamais les piliers d’une réduction durable de la pauvreté mais tout au contraire, ils seront des quémandeurs de bourses.
Tout ça est politique.
C'est pourquoi nous les appelons « les bourses de la réélection » et non des bourses sociales. C'est la CAPSUP, une Caisse Autonome qui devait selon le programme Yoonu Yokkute, s'occupait de la répartition mais malheureusement c'est le frère de la première dame (qui a déjà une fondation qui presque la même chose) qui s’occupe du partage des sous.
C’est la politique politicienne qui continue.
Les bourses représentent de l’aumône, dans ce cas c’est pour les prières. Ou bien elles représentent des fonds politiques d’une famille pour massifier le parti APR/ Yakaar.
C'est pourquoi nous les appelons « les bourses de la réélection » ou les bourses de la honte.
Modou FALL
Président Rassemblement pour la Vérité / Degg Moo Woor
Bambey : 1585
Diourbel : 1565
Mbacke : 880
Ou Mor Ngom 1585 ; Dame Diop (Dakar Dem Dikk) : 1565 Moustapha Cisse Lo : 880
Cette répartition ne s'explique pas.
Estimée à 12.855.153 habitants en 2011, la population du Sénégal a considérablement augmenté de 3.000.000 d’habitants entre 2002 (9.858.482 habitants) et 2011 avec un taux d’accroissement moyen annuel de 2,7%. En d’autres termes, la population augmente de plus de 900 personnes par jour, en s’appuyant sur les projections démographiques du recensement de 2002. Avec 6.348.578 d’hommes et 6.506.575 femmes, en 2011, ces dernières représentent 50,6% de la population contre 49,4% chez les hommes. (SES_2011 / ANSD)
Diourbel (10,9% de la population).
La population de la région de Diourbel est environ de 1399219 hab. La population urbaine est estimée a 891442 et pour le monde rural 507777. Bambey et Diourbel ne font même pas la moite de la population de Mbacké. Avec toutes les difficultés que rencontre les populations dans la zone de Touba, distribuer seulement 880 bourses de 100.000 F CFA par an, ne peut être que folklorique.
Pour rappel, d’après les données de l’Enquête de Suivi de la Pauvreté au Sénégal (ESPS II, 2010-2011), 6 367 733 personnes, soit 46,7% de la population sénégalaise vivent en dessous du seuil de pauvreté. Ce constat vient confirmer l'option du Sénégal d’ériger en priorité la prise en charge des groupes vulnérables et d'en faire un des piliers de la stratégie de réduction durable de la pauvreté.
Avec ces nombres et ces répartitions, ces groupes ne seront jamais les piliers d’une réduction durable de la pauvreté mais tout au contraire, ils seront des quémandeurs de bourses.
Tout ça est politique.
C'est pourquoi nous les appelons « les bourses de la réélection » et non des bourses sociales. C'est la CAPSUP, une Caisse Autonome qui devait selon le programme Yoonu Yokkute, s'occupait de la répartition mais malheureusement c'est le frère de la première dame (qui a déjà une fondation qui presque la même chose) qui s’occupe du partage des sous.
C’est la politique politicienne qui continue.
Les bourses représentent de l’aumône, dans ce cas c’est pour les prières. Ou bien elles représentent des fonds politiques d’une famille pour massifier le parti APR/ Yakaar.
C'est pourquoi nous les appelons « les bourses de la réélection » ou les bourses de la honte.
Modou FALL
Président Rassemblement pour la Vérité / Degg Moo Woor