Le président l’UJM qui s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de l'AAS a exhorté les arabisants, les imams et oulémas à ''s’investir pleinement lors des prochaines élections locales afin de pouvoir participer à la gestion des collectivités locales, au lieu d’être en marge''.
Ameth Saloum Dieng, président d’honneur de l'ASS a estimé que les arabophones ont été ''restaurés dans leurs droits et dans leur dignité'' par le chef de l’état, Macky Sall, grâce à la reconnaissance du baccalauréat arabe dans le système éducatif sénégalais. La première édition du bac arabe a été organisée en 2013.
Selon lui, le président Sall a posé ''un acte fort'' avec l’organisation du baccalauréat arabe, donnant ainsi la possibilité à ces bacheliers de pouvoir poursuivre leurs études dans les différentes universités du pays et passer aussi le concours de l'ENAM.
El Hadji Moussa Fall, professeur a l’université de Thiès, porte-parole de l’Alliance des arabophones du Sénégal, a souligné que les arabophones ''sont aujourd’hui déterminés à prendre leur place'' dans le pays et ''participer pleinement'' à son développement économique.
De 1960 à 2013, ''les arabisants n’ont jamais bénéficié d'avantages tant an niveau de l’administration, que dans plusieurs secteurs réservés aux diplômés du système éducatif français'', a t-il relevé.
L’AAS, créée en 2013, est ''un mouvement citoyen qui adhère aux idéaux de paix, de justice, de démocratie, de dialogue inter-religieux et de bonne gouvernance'', selon ses responsables.
Ameth Saloum Dieng, président d’honneur de l'ASS a estimé que les arabophones ont été ''restaurés dans leurs droits et dans leur dignité'' par le chef de l’état, Macky Sall, grâce à la reconnaissance du baccalauréat arabe dans le système éducatif sénégalais. La première édition du bac arabe a été organisée en 2013.
Selon lui, le président Sall a posé ''un acte fort'' avec l’organisation du baccalauréat arabe, donnant ainsi la possibilité à ces bacheliers de pouvoir poursuivre leurs études dans les différentes universités du pays et passer aussi le concours de l'ENAM.
El Hadji Moussa Fall, professeur a l’université de Thiès, porte-parole de l’Alliance des arabophones du Sénégal, a souligné que les arabophones ''sont aujourd’hui déterminés à prendre leur place'' dans le pays et ''participer pleinement'' à son développement économique.
De 1960 à 2013, ''les arabisants n’ont jamais bénéficié d'avantages tant an niveau de l’administration, que dans plusieurs secteurs réservés aux diplômés du système éducatif français'', a t-il relevé.
L’AAS, créée en 2013, est ''un mouvement citoyen qui adhère aux idéaux de paix, de justice, de démocratie, de dialogue inter-religieux et de bonne gouvernance'', selon ses responsables.