La lauréate a reçu sa récompense en marge de la Journée de la renaissance africaine dont la cérémonie officielle s’est tenue sous la présidence du secrétaire général du ministère de la Culture, Birane Niang.
La lauréate, auteur d’un premier recueil publié aux éditions L’Harmattan et intitulé ’’Si loin, si prêt’’, s’est dite "très heureuse" de cette distinction, accompagnée d’un trophée du Monument de la renaissance et d’une enveloppe financière d’un million de francs CFA.
"Qui dit renaissance, dit jeunesse. Le Monument de la renaissance africaine, (…), met-il l’accent sur la promotion de cette couche importante et dynamique de l’Afrique et de la diaspora. C’est la raison pour laquelle est institué le prix du jeune écrivain, prix de la renaissance", a dit le secrétaire général du ministère de la Culture.
M. Niang promet de "travailler à faire de ce prix une distinction africaine".
Le prix du jeune écrivain de la renaissance africaine constitue "le cachet nouveau" de cette 4e édition de la Journée de la renaissance africaine, a de son côté relevé l’administrateur du Monument du même nom, le professeur Abdoulaye Racine Senghor.
M. Senghor a rappelé que la journée de la renaissance africaine avait été instituée sur décision de l’Union africaine (UA).
"Mame Famew Camara est une poétesse totale, avec une écriture sobre, dénudée de tout cliché, mais surtout animée par une fine création, (...)", écrit en guise de préfacier Alioune Badara Bèye, président du jury et par ailleurs président de l’Association des écrivains du Sénégal.
A l’occasion de cette journée, le public a pris part à la dégustation de mets de pays africains (Egypte, Cameroun, Cap-Vert, etc.). La manifestation a été également agrémentée par la prestation d’une troupe cap-verdienne.
La lauréate, auteur d’un premier recueil publié aux éditions L’Harmattan et intitulé ’’Si loin, si prêt’’, s’est dite "très heureuse" de cette distinction, accompagnée d’un trophée du Monument de la renaissance et d’une enveloppe financière d’un million de francs CFA.
"Qui dit renaissance, dit jeunesse. Le Monument de la renaissance africaine, (…), met-il l’accent sur la promotion de cette couche importante et dynamique de l’Afrique et de la diaspora. C’est la raison pour laquelle est institué le prix du jeune écrivain, prix de la renaissance", a dit le secrétaire général du ministère de la Culture.
M. Niang promet de "travailler à faire de ce prix une distinction africaine".
Le prix du jeune écrivain de la renaissance africaine constitue "le cachet nouveau" de cette 4e édition de la Journée de la renaissance africaine, a de son côté relevé l’administrateur du Monument du même nom, le professeur Abdoulaye Racine Senghor.
M. Senghor a rappelé que la journée de la renaissance africaine avait été instituée sur décision de l’Union africaine (UA).
"Mame Famew Camara est une poétesse totale, avec une écriture sobre, dénudée de tout cliché, mais surtout animée par une fine création, (...)", écrit en guise de préfacier Alioune Badara Bèye, président du jury et par ailleurs président de l’Association des écrivains du Sénégal.
A l’occasion de cette journée, le public a pris part à la dégustation de mets de pays africains (Egypte, Cameroun, Cap-Vert, etc.). La manifestation a été également agrémentée par la prestation d’une troupe cap-verdienne.