Le prix de l’oignon bord-champ a été fixé à 150 francs CFA et 200 francs CFA le kilogramme, respectivement, pour la vallée du fleuve Sénégal et la zone des Niayes, a appris l’APS, mardi.
Ce prix a été arrêté par le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME, Alioune Sarr, en concertation avec les acteurs de la filière, a constaté l’Agence de presse sénégalaise (APS).
‘’Ce sont des prix consensuels. […] nous avons tous ici réfléchi ensemble, arrêtant 150 et 200 FCFA respectivement dans la vallée du fleuve et dans la zone des Niayes’’, a expliqué mardi Alioune Sarr, en faisant une synthèse d’une réunion sur la filière tenue dans les locaux de son ministère.
Cette rencontre a réuni le ministère du Commerce, les commerçants, les producteurs de la vallée du fleuve Sénégal, de la zone des Niayes et les consommateurs.
Au cours de cette réunion, Alioune Sarr a échangé sur les questions liées à la filière oignon local avec ces différents acteurs, en présence des responsables de l’Agence de régulation des marchés (ARM).
Le début de la campagne de commercialisation de l’oignon local reste marqué par des difficultés, liées notamment à "la présence’’ encore sur le marché sénégalais de l’oignon importé.
L’Agence de régulation des marchés a décidé de geler les importations, à compter du 20 février 2017, pour faciliter la commercialisation de l’oignon produit localement.
Ce mardi, au chapitre des pistes de solutions aux contraintes qui plombent la vente de la production locale, il a été question notamment de la mise sur pied d’un comité de commercialisation. L’objectif est de faciliter l’approvisionnement du marché dakarois.
Dans ce sillage, les acteurs sont invités à réfléchir à mettre sur pied un plan de communication, pour promouvoir l’oignon local, mais aussi à penser à investir le marché de la sous-région.
Sur cette lancée, le directeur de l’horticulture, Macoumba Diouf, a préconisé l’implication du secteur prévu dans la commercialisation de l’oignon local.
‘’Il est important que le secteur privé soit impliqué dans ce processus de commercialisation de l’oignon local. Aussi, je pense qu’il sera fondamental de doter encore de formations et d’encadrement les producteurs’’, a dit M Diouf.
L’ancien directeur de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) a émis dans le cadre de la coopération entre le Sénégal et le Maroc, l’idée de la création d’agropoles.
‘’La mise sur pied de ces zones agricoles spécifiques pourrait aider à [créer] des unités de conditionnement des produits agricoles, comme l’oignon’’, a-t-il justifié.
Au Sénégal, il existe, depuis une dizaine d’années, une période de gel des importations. Ainsi, toute importation d’oignons est interdite de février à juillet-août.
Ce prix a été arrêté par le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME, Alioune Sarr, en concertation avec les acteurs de la filière, a constaté l’Agence de presse sénégalaise (APS).
‘’Ce sont des prix consensuels. […] nous avons tous ici réfléchi ensemble, arrêtant 150 et 200 FCFA respectivement dans la vallée du fleuve et dans la zone des Niayes’’, a expliqué mardi Alioune Sarr, en faisant une synthèse d’une réunion sur la filière tenue dans les locaux de son ministère.
Cette rencontre a réuni le ministère du Commerce, les commerçants, les producteurs de la vallée du fleuve Sénégal, de la zone des Niayes et les consommateurs.
Au cours de cette réunion, Alioune Sarr a échangé sur les questions liées à la filière oignon local avec ces différents acteurs, en présence des responsables de l’Agence de régulation des marchés (ARM).
Le début de la campagne de commercialisation de l’oignon local reste marqué par des difficultés, liées notamment à "la présence’’ encore sur le marché sénégalais de l’oignon importé.
L’Agence de régulation des marchés a décidé de geler les importations, à compter du 20 février 2017, pour faciliter la commercialisation de l’oignon produit localement.
Ce mardi, au chapitre des pistes de solutions aux contraintes qui plombent la vente de la production locale, il a été question notamment de la mise sur pied d’un comité de commercialisation. L’objectif est de faciliter l’approvisionnement du marché dakarois.
Dans ce sillage, les acteurs sont invités à réfléchir à mettre sur pied un plan de communication, pour promouvoir l’oignon local, mais aussi à penser à investir le marché de la sous-région.
Sur cette lancée, le directeur de l’horticulture, Macoumba Diouf, a préconisé l’implication du secteur prévu dans la commercialisation de l’oignon local.
‘’Il est important que le secteur privé soit impliqué dans ce processus de commercialisation de l’oignon local. Aussi, je pense qu’il sera fondamental de doter encore de formations et d’encadrement les producteurs’’, a dit M Diouf.
L’ancien directeur de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) a émis dans le cadre de la coopération entre le Sénégal et le Maroc, l’idée de la création d’agropoles.
‘’La mise sur pied de ces zones agricoles spécifiques pourrait aider à [créer] des unités de conditionnement des produits agricoles, comme l’oignon’’, a-t-il justifié.
Au Sénégal, il existe, depuis une dizaine d’années, une période de gel des importations. Ainsi, toute importation d’oignons est interdite de février à juillet-août.