''Je voudrais à ce propos préciser que le metteur en scène de ce film +stupide+ n’est pas israélien, mais plutôt un copte égyptien vivant aux Etats-Unis. Il faut que cela soit clair'', a soutenu M. Ben Tura dans une interview publiée vendredi par le journal Sud Quotidien.
L'auteur de ce film est présenté par les médias comme un citoyen israélien et des Etats-Unis d'Amérique.
''La colère des musulmans est compréhensible et ils ont le droit de manifester. Toutes les agressions ne pas acceptables'', a dit le diplomate israélien, interrogé sur ce film qui défraye la chronique depuis plusieurs jours dans le monde.
''J’ajouterai que la liberté d’expression est un droit consacré dans les pays occidentaux et que ces derniers n’ont pas les moyens d’empêcher la diffusion de tels documents'', a-t-il dit du film diffusé sur Internet.
Eli Ben Tura estime que ''les gouvernements des pays musulmans doivent prendre leurs responsabilités et sécuriser les représentations diplomatiques''. ''Autrement, ils connaîtront l’effet boomerang des manifestations, à savoir la déstabilisation et des tensions sociales'', a-t-il ajouté, faisant allusion aux vives manifestations de colère, dont le film est la cause dans le monde arabe surtout.
Dans un communiqué reçu mardi à l'APS, l'Organisation de coopération islamique (OCI), qui fédère une soixantaine de pays, a promis d'apporter ''une réponse à la vague d'incitation à la haine contre les musulmans, en particulier contre le prophète Mohammed''.
L'OCI, qui est basée à Djeddah (Arabie Saoudite), réagissait ainsi au film ''L’Innocence des musulmans'', jugé blasphématoire envers l'islam et son prophète. Christopher Stephen, un diplomate américain en poste en Libye, a été tué il y a quelques jours dans une manifestation hostile à ce film.
L'auteur de ce film est présenté par les médias comme un citoyen israélien et des Etats-Unis d'Amérique.
''La colère des musulmans est compréhensible et ils ont le droit de manifester. Toutes les agressions ne pas acceptables'', a dit le diplomate israélien, interrogé sur ce film qui défraye la chronique depuis plusieurs jours dans le monde.
''J’ajouterai que la liberté d’expression est un droit consacré dans les pays occidentaux et que ces derniers n’ont pas les moyens d’empêcher la diffusion de tels documents'', a-t-il dit du film diffusé sur Internet.
Eli Ben Tura estime que ''les gouvernements des pays musulmans doivent prendre leurs responsabilités et sécuriser les représentations diplomatiques''. ''Autrement, ils connaîtront l’effet boomerang des manifestations, à savoir la déstabilisation et des tensions sociales'', a-t-il ajouté, faisant allusion aux vives manifestations de colère, dont le film est la cause dans le monde arabe surtout.
Dans un communiqué reçu mardi à l'APS, l'Organisation de coopération islamique (OCI), qui fédère une soixantaine de pays, a promis d'apporter ''une réponse à la vague d'incitation à la haine contre les musulmans, en particulier contre le prophète Mohammed''.
L'OCI, qui est basée à Djeddah (Arabie Saoudite), réagissait ainsi au film ''L’Innocence des musulmans'', jugé blasphématoire envers l'islam et son prophète. Christopher Stephen, un diplomate américain en poste en Libye, a été tué il y a quelques jours dans une manifestation hostile à ce film.