La main invisible de l’impérialisme féodale dans le secteur du tourisme
Voici une contribution que je veux sobre sans verser dans la polémique ni attaquer quiconque. Aujourd’hui le tourisme sénégalais souffre plus que par le passé, il profite plus aux puissants groupes étrangers et à leurs économies, qu’il ne profite aux populations sénégalaises et à notre économie.
Et cela est un secret de polichinelle que de ne pas savoir, que le tourisme sénégalais est pris en otage. Il l’est encore plus avec l’arrivée du gouvernement d’Abdoul Mbaye sous le magistère du chanteur Youssou Ndour devenu ministre à la faveur de la rue publique, ou il siège à la tête d’un secteur complexe, difficile et trop technique.
Notre tourisme a toujours été malmené malgré les efforts d’operateurs privés sénégalais, dont je salue le courage et le patriotisme. Ceux là ont compris très tôt le rôle fédérateur et structurant du tourisme dans un pays. Les exemples de la Tunisie, du Maroc, de l’Afrique du sud, du Kenya, de Dubaï etc…sont là pour le prouver s’il en était encore besoin que le tourisme est un facteur de développement et une industrie de premier rang.
Il y a des voix autorisées à porter la parole des professionnels du secteur du tourisme qui du reste est une grande famille dans laquelle siège les hôteliers. Plusieurs voix se sont indignées, elles ont exprimées leurs colères et leurs tristesses de voir que rien n’est encore dit et fait pour la saison touristique 2012/2013.
Il faut également comprendre que l’hôtel est le lieu de résidence par excellence du touriste, donc c’est un maillon important dans la chaine des valeurs et que sa gestion doit retenir toute les attentions jusqu’au plus haut niveau.
A ce titre le problème que soulève le personnel du complexe King Fahd Palace hôtel me semble être une manipulation qui ne dit pas son nom, car nous sommes bien au fait de la situation qui prévaut dans le secteur de l’hôtellerie principalement, et du tourisme en général.
La situation du tourisme à l’heure actuelle est très grave, absence de programmes, de dialogue, des oubliés d’un coté et une agitation de l’autre. Quant aux acteurs du secteur ils se résument à dire selon l’adage. « On ne récolte que ce que l’on a semé »,
Il faut le dire d’une voix audible, le ministère de la culture et du tourisme est sur une mauvaise pente, sur un mauvais chemin, comme le disait l’artiste chanteur devenu ministre « yone wi gua dieule bakhoul, koula ko digual dafa leye nakh ».
Il me plait également de dire que c’est lui-même qui lançait aux étudiants et aux sénégalais dans un de ses tubes fétiches « khaléyi diangui léne ndakh soléne magué tékki » C’était une façon pour l’artiste chanteur de sensibiliser les élèves et les étudiants sur l’importance des études, l’obtention de diplômes et de connaissances dans les domaines techniques pour servir son pays. Ceci nous renvoie à la suite de sa chanson ou il dit « yoone wi si dess mogueune lodadjiéle dadi ko meune »
J’en appel à la volonté et au patriotisme des autorités sénégalaises, à ne pas briser l’élan des investisseurs sénégalais et de ne pas aliéner ce patrimoine du King Fahd palace hôtel, car ce serait un recul que de voir confier cet hôtel à des groupes étrangers. Ne disons nous pas souvent que : « charité bien ordonné commence par sois même »
Cette confiance que l’Etat du Sénégal a placée à l’un d’entre nous, a été une victoire sur notre capacité à nous prendre en charge et notre volonté de jouer les premiers rôles.
C’est également une victoire du secteur privé sénégalais dans sa marche pour s’imposer face aux grands groupes étrangers et à son autonomie de décisions pour choisir un des leurs, une personne connue du milieu du tourisme en Afrique et dans le monde. Je veux nommer monsieur Racine Sy, un homme expérimenté, ambitieux et nationaliste.
Cette personne courageuse qui a accompagné les premiers pas du tourisme sénégalais, a du mérite, nous devons l’accompagner et notre rôle est de travailler avec lui et aux cotés de ceux qui ont la charge, l’expertise et l’intégrité morale à gérer avec transparence cet hôtel qui reste un joyau et un fleuron de notre économie touristique.
Je rappel que l’ex méridien président est un hôtel d’affaires et de conférences de premier ordre dans la sous région ouest africaine.
Je pense que je ne suis plus à présenter dans le secteur du tourisme, je suis une voix autorisée de par mon engagement, mon expérience et mon expertise. A ce titre j’appel toutes les forces de l’économie sénégalaise à comprendre que l’économie touristique joue un rôle prépondérant de par sa transversalité, à l’équilibre macro économique, à la balance des paiements et à l’équilibre budgétaire.
Fort de ce constat il est du devoir de tous sénégalais, en particulier les députés, de se saisir de la question du tourisme, et au premier rang le ministre de la culture et du tourisme pour sauvegarder nos intérêts et ceux de l’état dans le conflit qui ne dit pas son nom entre le personnel et le gestionnaire, qui en réalité se confondent dans un même objectif celui du développement économique et social du Sénégal.
Je demande aux travailleurs de travailler, chacun respectant son devoir de réserve et du travail, faisant ce qu’il sait faire et se limitant à ces prérogatives. Toutefois ils sont les sentinelles de ce complexe qu’ils se doivent de préserver pour l’intérêt national.
La revendication est un droit, mais elle ne doit pas affecter le droit des autres, aussi doit elle suivre une voie autorisée « le linge sale se lave en famille autour du patronat, de la tutelle et de la primature » L’Etat ne doit en aucun cas faire une ingérence dans la gestion et la politique commerciale de l’entreprise, dés lors qu’il y a un cahier de charges qui définit les règles, ou chacun en ce qui le concerne, se doit de respecter les clauses et c’est le droit qui doit triompher.
Arrêtons les menaces, arrêtons de porter les choses interne à la place publique, arrêtons de ternir l’image de la destination, car le secteur du tourisme est très sensible à ces variations dépendantes de circonstances imprévisibles.
C’est le lieu d’interpeller le ministère sur son programme avec l’ouverture prochaine de la saison touristique, la journée mondiale du tourisme qui s’annonce, les reformes sur les campements, les auberges, les maisons meublées, la TVA, le relèvement de la taxe touristique rejeté par l’assemblée, les moyens additionnels et le budget de promotion qui en bonne partie dépend des arrivés touristiques, les politiques de promotion et de marketing territorial, la gestion et la reforme de la SAPCO, le nouveau guide pour la plateforme touristique, les questions stratégique du e-tourisme et de marketing, la formation etc….autant de questions importantes sur lesquelles les professionnels l’attendent de pieds fermes.
C’est une honte de constater que l’état du Sénégal consacre 100 millions de frs CFA dans le budget de l’Agence nationale de promotion touristique (ANPT) qu’il accuse de budgétivore, d’inefficacité, et d’incompétence.
A vous sénégalais de juger si avec cette somme annuelle, aussi dérisoire que inacceptable, peut aider un petit bureau d’information touristique à s’acquitter de ses obligations premières. Alors ou se trouve l’ambition du gouvernement ! Et quelle doit être l’attitude du nouveau ministre face a cette injustice.
Notre pays a besoin d’une bonne presse, d’une image forte, car sa stabilité politique est gage de son respect. D’ailleurs le qualificatif ou le surnom « Téranga » n’est pas un vain mot, alors je nous invite tous à plus de responsabilité, de respect et au travail.
Soyons fiers de ce que nous sommes, choisissons les meilleurs d’entre nous dans ce qu’ils savent faire, pour qu’ils nous servent de model.
A chacun ses préférences, moi je suis un nationaliste. Cultivons l’amour du pays et la préférence nationale. Le respect et la transparence dans la gestion de la chose publique.
Je rappel également que tout ce qui touche à la culture m’intéresse. Pour ceux qui ne le savent pas, je suis écrivain, poète et j’ai un recueil d’une quarantaine de poèmes, qui touche tous les domaines de la vie.
J’ai également deux manuscrits chez l’éditeur le négre international, ou l’un parle du tourisme de demain et l’autre de la jurisprudence islamique.
Donc la complicité entre culture et tourisme, les liens structurants de la culture sur le tourisme font que je ne puisse accepter et regarder faire n’importe quoi dans le secteur de la culture et du tourisme à fortiori le ministère tel que structuré aujourd’hui.
Ce grand département n’est pas et ne doit pas être un gâteau, ou les parts sont partagées entre « bouki, Ndiour et Samba ». Sachant que Bouki , Ndiour et Samba ce sont invités par surprise et par voie de contournement, laissant les ayants droits sur leur faim.
Je ne suis pas naïf mais il faut savoir que la transparence est un pilier fondamental de la bonne gouvernance et qu’un gouvernement ne peut être composé que de « récompensés » car en définitif tous les sénégalais sont méritants. L’exercice des fonctions et des responsabilités à partager doivent se faire par appel à candidature pour un meilleur choix dans l’équité et le respect.
Voici une contribution que je veux sobre sans verser dans la polémique ni attaquer quiconque. Aujourd’hui le tourisme sénégalais souffre plus que par le passé, il profite plus aux puissants groupes étrangers et à leurs économies, qu’il ne profite aux populations sénégalaises et à notre économie.
Et cela est un secret de polichinelle que de ne pas savoir, que le tourisme sénégalais est pris en otage. Il l’est encore plus avec l’arrivée du gouvernement d’Abdoul Mbaye sous le magistère du chanteur Youssou Ndour devenu ministre à la faveur de la rue publique, ou il siège à la tête d’un secteur complexe, difficile et trop technique.
Notre tourisme a toujours été malmené malgré les efforts d’operateurs privés sénégalais, dont je salue le courage et le patriotisme. Ceux là ont compris très tôt le rôle fédérateur et structurant du tourisme dans un pays. Les exemples de la Tunisie, du Maroc, de l’Afrique du sud, du Kenya, de Dubaï etc…sont là pour le prouver s’il en était encore besoin que le tourisme est un facteur de développement et une industrie de premier rang.
Il y a des voix autorisées à porter la parole des professionnels du secteur du tourisme qui du reste est une grande famille dans laquelle siège les hôteliers. Plusieurs voix se sont indignées, elles ont exprimées leurs colères et leurs tristesses de voir que rien n’est encore dit et fait pour la saison touristique 2012/2013.
Il faut également comprendre que l’hôtel est le lieu de résidence par excellence du touriste, donc c’est un maillon important dans la chaine des valeurs et que sa gestion doit retenir toute les attentions jusqu’au plus haut niveau.
A ce titre le problème que soulève le personnel du complexe King Fahd Palace hôtel me semble être une manipulation qui ne dit pas son nom, car nous sommes bien au fait de la situation qui prévaut dans le secteur de l’hôtellerie principalement, et du tourisme en général.
La situation du tourisme à l’heure actuelle est très grave, absence de programmes, de dialogue, des oubliés d’un coté et une agitation de l’autre. Quant aux acteurs du secteur ils se résument à dire selon l’adage. « On ne récolte que ce que l’on a semé »,
Il faut le dire d’une voix audible, le ministère de la culture et du tourisme est sur une mauvaise pente, sur un mauvais chemin, comme le disait l’artiste chanteur devenu ministre « yone wi gua dieule bakhoul, koula ko digual dafa leye nakh ».
Il me plait également de dire que c’est lui-même qui lançait aux étudiants et aux sénégalais dans un de ses tubes fétiches « khaléyi diangui léne ndakh soléne magué tékki » C’était une façon pour l’artiste chanteur de sensibiliser les élèves et les étudiants sur l’importance des études, l’obtention de diplômes et de connaissances dans les domaines techniques pour servir son pays. Ceci nous renvoie à la suite de sa chanson ou il dit « yoone wi si dess mogueune lodadjiéle dadi ko meune »
J’en appel à la volonté et au patriotisme des autorités sénégalaises, à ne pas briser l’élan des investisseurs sénégalais et de ne pas aliéner ce patrimoine du King Fahd palace hôtel, car ce serait un recul que de voir confier cet hôtel à des groupes étrangers. Ne disons nous pas souvent que : « charité bien ordonné commence par sois même »
Cette confiance que l’Etat du Sénégal a placée à l’un d’entre nous, a été une victoire sur notre capacité à nous prendre en charge et notre volonté de jouer les premiers rôles.
C’est également une victoire du secteur privé sénégalais dans sa marche pour s’imposer face aux grands groupes étrangers et à son autonomie de décisions pour choisir un des leurs, une personne connue du milieu du tourisme en Afrique et dans le monde. Je veux nommer monsieur Racine Sy, un homme expérimenté, ambitieux et nationaliste.
Cette personne courageuse qui a accompagné les premiers pas du tourisme sénégalais, a du mérite, nous devons l’accompagner et notre rôle est de travailler avec lui et aux cotés de ceux qui ont la charge, l’expertise et l’intégrité morale à gérer avec transparence cet hôtel qui reste un joyau et un fleuron de notre économie touristique.
Je rappel que l’ex méridien président est un hôtel d’affaires et de conférences de premier ordre dans la sous région ouest africaine.
Je pense que je ne suis plus à présenter dans le secteur du tourisme, je suis une voix autorisée de par mon engagement, mon expérience et mon expertise. A ce titre j’appel toutes les forces de l’économie sénégalaise à comprendre que l’économie touristique joue un rôle prépondérant de par sa transversalité, à l’équilibre macro économique, à la balance des paiements et à l’équilibre budgétaire.
Fort de ce constat il est du devoir de tous sénégalais, en particulier les députés, de se saisir de la question du tourisme, et au premier rang le ministre de la culture et du tourisme pour sauvegarder nos intérêts et ceux de l’état dans le conflit qui ne dit pas son nom entre le personnel et le gestionnaire, qui en réalité se confondent dans un même objectif celui du développement économique et social du Sénégal.
Je demande aux travailleurs de travailler, chacun respectant son devoir de réserve et du travail, faisant ce qu’il sait faire et se limitant à ces prérogatives. Toutefois ils sont les sentinelles de ce complexe qu’ils se doivent de préserver pour l’intérêt national.
La revendication est un droit, mais elle ne doit pas affecter le droit des autres, aussi doit elle suivre une voie autorisée « le linge sale se lave en famille autour du patronat, de la tutelle et de la primature » L’Etat ne doit en aucun cas faire une ingérence dans la gestion et la politique commerciale de l’entreprise, dés lors qu’il y a un cahier de charges qui définit les règles, ou chacun en ce qui le concerne, se doit de respecter les clauses et c’est le droit qui doit triompher.
Arrêtons les menaces, arrêtons de porter les choses interne à la place publique, arrêtons de ternir l’image de la destination, car le secteur du tourisme est très sensible à ces variations dépendantes de circonstances imprévisibles.
C’est le lieu d’interpeller le ministère sur son programme avec l’ouverture prochaine de la saison touristique, la journée mondiale du tourisme qui s’annonce, les reformes sur les campements, les auberges, les maisons meublées, la TVA, le relèvement de la taxe touristique rejeté par l’assemblée, les moyens additionnels et le budget de promotion qui en bonne partie dépend des arrivés touristiques, les politiques de promotion et de marketing territorial, la gestion et la reforme de la SAPCO, le nouveau guide pour la plateforme touristique, les questions stratégique du e-tourisme et de marketing, la formation etc….autant de questions importantes sur lesquelles les professionnels l’attendent de pieds fermes.
C’est une honte de constater que l’état du Sénégal consacre 100 millions de frs CFA dans le budget de l’Agence nationale de promotion touristique (ANPT) qu’il accuse de budgétivore, d’inefficacité, et d’incompétence.
A vous sénégalais de juger si avec cette somme annuelle, aussi dérisoire que inacceptable, peut aider un petit bureau d’information touristique à s’acquitter de ses obligations premières. Alors ou se trouve l’ambition du gouvernement ! Et quelle doit être l’attitude du nouveau ministre face a cette injustice.
Notre pays a besoin d’une bonne presse, d’une image forte, car sa stabilité politique est gage de son respect. D’ailleurs le qualificatif ou le surnom « Téranga » n’est pas un vain mot, alors je nous invite tous à plus de responsabilité, de respect et au travail.
Soyons fiers de ce que nous sommes, choisissons les meilleurs d’entre nous dans ce qu’ils savent faire, pour qu’ils nous servent de model.
A chacun ses préférences, moi je suis un nationaliste. Cultivons l’amour du pays et la préférence nationale. Le respect et la transparence dans la gestion de la chose publique.
Je rappel également que tout ce qui touche à la culture m’intéresse. Pour ceux qui ne le savent pas, je suis écrivain, poète et j’ai un recueil d’une quarantaine de poèmes, qui touche tous les domaines de la vie.
J’ai également deux manuscrits chez l’éditeur le négre international, ou l’un parle du tourisme de demain et l’autre de la jurisprudence islamique.
Donc la complicité entre culture et tourisme, les liens structurants de la culture sur le tourisme font que je ne puisse accepter et regarder faire n’importe quoi dans le secteur de la culture et du tourisme à fortiori le ministère tel que structuré aujourd’hui.
Ce grand département n’est pas et ne doit pas être un gâteau, ou les parts sont partagées entre « bouki, Ndiour et Samba ». Sachant que Bouki , Ndiour et Samba ce sont invités par surprise et par voie de contournement, laissant les ayants droits sur leur faim.
Je ne suis pas naïf mais il faut savoir que la transparence est un pilier fondamental de la bonne gouvernance et qu’un gouvernement ne peut être composé que de « récompensés » car en définitif tous les sénégalais sont méritants. L’exercice des fonctions et des responsabilités à partager doivent se faire par appel à candidature pour un meilleur choix dans l’équité et le respect.