Depuis la semaine dernière, elles occupent le devant de la scène médiatique. Et c’est à juste titre parce qu’en tant que femmes, elles n’ont pas choisi la voie qui devrait être la leur. Conséquence : elles ont maille à partir avec la justice de leur pays.
Lundi dernier, cinq lesbiennes puisqu’il s’agit bien d’elles, célébraient en grande pompe l’anniversaire de l’une d’elles qui se trouve être une mineure. Seulement, au lieu de faire profil bas, ces femmes bien spéciales ont choisi de se livrer à des actes réprimés par la loi sénégalaise et ont été arrêtées par la police. Placées en garde à vue, Bébé Chou et Cie seront ensuite déférées au parquet avant leur inculpation pour actes contre-nature. Leur procès est prévu aujourd’hui au tribunal des flagrants délits de Dakar.
A noter que lors de leurs interrogatoire par la brigade des mœurs de la sureté urbaine, elles ont à l’unanimité avoué pour penchant pour le lesbianisme tout en niant s’être embrassées en public.
Elles risquent 1 à 5 ans de prison ferme en vertu de l'article 319 du code pénal. Le bar Piano Piano qui leur a servi de cadre a été fermé le vendredi dernier par le préfet de Dakar au grand bonheur des populations riveraines qui n’ont pas arrêté de se plaindre des méfaits de ce lieu de distraction.
Lundi dernier, cinq lesbiennes puisqu’il s’agit bien d’elles, célébraient en grande pompe l’anniversaire de l’une d’elles qui se trouve être une mineure. Seulement, au lieu de faire profil bas, ces femmes bien spéciales ont choisi de se livrer à des actes réprimés par la loi sénégalaise et ont été arrêtées par la police. Placées en garde à vue, Bébé Chou et Cie seront ensuite déférées au parquet avant leur inculpation pour actes contre-nature. Leur procès est prévu aujourd’hui au tribunal des flagrants délits de Dakar.
A noter que lors de leurs interrogatoire par la brigade des mœurs de la sureté urbaine, elles ont à l’unanimité avoué pour penchant pour le lesbianisme tout en niant s’être embrassées en public.
Elles risquent 1 à 5 ans de prison ferme en vertu de l'article 319 du code pénal. Le bar Piano Piano qui leur a servi de cadre a été fermé le vendredi dernier par le préfet de Dakar au grand bonheur des populations riveraines qui n’ont pas arrêté de se plaindre des méfaits de ce lieu de distraction.