Citée dans un article relatif à une affaire d’escroquerie qui lui est reprochée et paru ce jeudi 13 avril, Adja Oulimata Dioum est sortie de son mutisme. Cette dernière qui est la présidente de la gestion de la Mutuelle d’épargne et de Crédit de l’Association des femmes pour la promotion de l’entrepreneuriat au Sénégal (Afepes), a voulu donner sa part de vérité dans cette affaire qui lui a valu d’être convoquée au tribunal.
Cette affaire est en fait vieille de plusieurs années, a d’emblée précisé la dame dans un communiqué envoyé à Seneweb. «Je lance un défi à quiconque de me (démontrer), avec des preuves probantes, le moindre centime pris illicitement par Oulimata Dioum. Le seul hic, à ce jour, c’est que bien de nos membres qui ont eu à bénéficier de ces financements sont dans l’incapacité de rembourser. Un état de fait qui porte atteinte à l’esprit de ces financements qui devront être des fonds revolving», a-t-elle dit.
Avec cette mutuelle, elle avoue avoir «vécu plus d’inconvénients plus que quiconque. Je ne suis qu’une victime comme tous les autres. En effet, c’est soucieuse de faire marcher les choses que j’ai même mis sous hypothèque un bien immobilier estimé à plus de 400 millions de F Cfa. C’est dire que si escroquerie il y a, c’est moi la véritable victime». Elle a précisé que l’hypothèque de caution volontaire a été faite devant un notaire qui a pignon sur rue à Dakar, à l’Avenue Jules Ferry. Ce, avant d’exhorter «les femmes qui ont pris des fonds à venir solder leur créance. Car, c’est une question d’honneur, de dignité. Mon statut et ma stature de femme de développement qui a eu à faire ses preuves dans des domaines bien diversifiés m’interdit de me mêler dans ces histoires d’escroquerie susceptibles de faire froisser, ignominieusement, les plis de mon honneur».
Cette affaire est en fait vieille de plusieurs années, a d’emblée précisé la dame dans un communiqué envoyé à Seneweb. «Je lance un défi à quiconque de me (démontrer), avec des preuves probantes, le moindre centime pris illicitement par Oulimata Dioum. Le seul hic, à ce jour, c’est que bien de nos membres qui ont eu à bénéficier de ces financements sont dans l’incapacité de rembourser. Un état de fait qui porte atteinte à l’esprit de ces financements qui devront être des fonds revolving», a-t-elle dit.
Avec cette mutuelle, elle avoue avoir «vécu plus d’inconvénients plus que quiconque. Je ne suis qu’une victime comme tous les autres. En effet, c’est soucieuse de faire marcher les choses que j’ai même mis sous hypothèque un bien immobilier estimé à plus de 400 millions de F Cfa. C’est dire que si escroquerie il y a, c’est moi la véritable victime». Elle a précisé que l’hypothèque de caution volontaire a été faite devant un notaire qui a pignon sur rue à Dakar, à l’Avenue Jules Ferry. Ce, avant d’exhorter «les femmes qui ont pris des fonds à venir solder leur créance. Car, c’est une question d’honneur, de dignité. Mon statut et ma stature de femme de développement qui a eu à faire ses preuves dans des domaines bien diversifiés m’interdit de me mêler dans ces histoires d’escroquerie susceptibles de faire froisser, ignominieusement, les plis de mon honneur».