''Nous réclamons de bonnes conditions et de la considération de la part des autorités qui nous réclament rien d’autre que la médaille d’or au championnat d’Afrique’’, a dit Fatou Dieng l’une des porte-parole des Lionnes.
‘’Même lorsqu’on termine deuxième au championnat d’Afrique, les gens ne sont pas contents, alors que le minimum pour une bonne préparation ne nous est pas assuré. Le minimum n'est pas fait pour nous’’, a déploré la meneuse de jeu.
‘’Est'ce qu’on ressemble à une équipe, là ?’’ s’est elle interrogée, pointant du doigt le manque de ‘’matériel logistique et même d’équipement sportif. On n’a même pas d’uniformes’’. ‘’Nous réclamons une plus grande considération avec le remboursement de nos billets d’avion, la revalorisation de nos primes et surtout le paiement de primes d’assurance’’, a renchéri Ndèye Ndiaye, l’une des doyennes du groupe.
Pour celle qui revendique 13 ans de présence en équipe nationale, ‘’l’on ne peut comprendre que les clubs nous coupent les salaires pendant le temps qu’on est en équipe nationale et que même nos primes journalières de 5000 francs ne nous sont pas payées, alors qu’on a des charges’’.
Les Lionnes n’ont reçu depuis deux mois et demi qu’elles sont en regroupement ''que la somme de 85 000 francs en guise d’avance sur les primes journalières’’, a dénoncé la doyenne du groupe.
Source Aps.sn
‘’Même lorsqu’on termine deuxième au championnat d’Afrique, les gens ne sont pas contents, alors que le minimum pour une bonne préparation ne nous est pas assuré. Le minimum n'est pas fait pour nous’’, a déploré la meneuse de jeu.
‘’Est'ce qu’on ressemble à une équipe, là ?’’ s’est elle interrogée, pointant du doigt le manque de ‘’matériel logistique et même d’équipement sportif. On n’a même pas d’uniformes’’. ‘’Nous réclamons une plus grande considération avec le remboursement de nos billets d’avion, la revalorisation de nos primes et surtout le paiement de primes d’assurance’’, a renchéri Ndèye Ndiaye, l’une des doyennes du groupe.
Pour celle qui revendique 13 ans de présence en équipe nationale, ‘’l’on ne peut comprendre que les clubs nous coupent les salaires pendant le temps qu’on est en équipe nationale et que même nos primes journalières de 5000 francs ne nous sont pas payées, alors qu’on a des charges’’.
Les Lionnes n’ont reçu depuis deux mois et demi qu’elles sont en regroupement ''que la somme de 85 000 francs en guise d’avance sur les primes journalières’’, a dénoncé la doyenne du groupe.
Source Aps.sn