Le ministre de l’environnement Mor N'gom a invité les PMA à s’accorder autour d’une position légalement contraignante et suffisamment ambitieuse pour limiter le réchauffement du globe à 2°C par rapport à l’ère préindustrielle. « J’exhorte les pays en voie de développement à adopter une démarche dynamique et responsable pour ne pas être en reste à l’heure du bilan. Ce processus va nécessiter la mise en place d’une organisation institutionnelle particulière et des outils de mesure, et de vérification pour tous les éléments relatifs au changement climatique.»
Il s’exprimait lors d’une conférence ministérielle sur le changement climatique pour les pays moins avancés francophones qui regroupe plusieurs experts et ministres en charge du secteur pour permettre une position commune de ces nations en vue des négociations sur le changement climatique, prévues en décembre à Lima (Pérou). « Nous sommes arrivés à l’heure de l’action. Depuis les années 1980, l’atmosphère et l’océan se sont réchauffés, la couverture de neige et de glace a diminué, le niveau des mers s’est élevé et les concentrations des gaz à effet de serre ont augmenté » a dit Mor N'gom ministre de l’Environnement. Qui a ajouté que le Sénégal subit de plein fouet les effets néfastes des changements climatiques qui se manifestent déjà par des pertes humaines avec des inondations, une érosion exponentielle du littoral, des pertes de plage et d'infrastructures, la salinisation des ressources en eau et des terres, une agriculture. « La réponse à ce problème passe nécessairement par une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. La construction du nouveau régime climatique pour 2015, devra se faire suivant les responsabilités et les capacités des pays», a dit Mor N'gom. Qui a ajouté que cela veut dire qu’il faut aboutir à un accord en cohérence avec les recommandations de la science, tout en prenant en considération les réalités économiques des pays respectifs.
Il s’exprimait lors d’une conférence ministérielle sur le changement climatique pour les pays moins avancés francophones qui regroupe plusieurs experts et ministres en charge du secteur pour permettre une position commune de ces nations en vue des négociations sur le changement climatique, prévues en décembre à Lima (Pérou). « Nous sommes arrivés à l’heure de l’action. Depuis les années 1980, l’atmosphère et l’océan se sont réchauffés, la couverture de neige et de glace a diminué, le niveau des mers s’est élevé et les concentrations des gaz à effet de serre ont augmenté » a dit Mor N'gom ministre de l’Environnement. Qui a ajouté que le Sénégal subit de plein fouet les effets néfastes des changements climatiques qui se manifestent déjà par des pertes humaines avec des inondations, une érosion exponentielle du littoral, des pertes de plage et d'infrastructures, la salinisation des ressources en eau et des terres, une agriculture. « La réponse à ce problème passe nécessairement par une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. La construction du nouveau régime climatique pour 2015, devra se faire suivant les responsabilités et les capacités des pays», a dit Mor N'gom. Qui a ajouté que cela veut dire qu’il faut aboutir à un accord en cohérence avec les recommandations de la science, tout en prenant en considération les réalités économiques des pays respectifs.
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