Quelques heures après avoir brillamment récupéré leur titre de champion NBA aux Cleveland Cavaliers, les Golden State Warriors ont fait savoir qu'ils ne se rendraient pas à Washington afin de célébrer leur victoire avec le président américain Donald Trump.
Les Californiens rompent avec la tradition qui veut que les équipes lauréates d'un championnat nord-américain soient reçues à la Maison Blanche par le président en exercice. Ces mêmes Warriors avaient néanmoins accepté avec honneur l'invitation envoyée par Barack Obama pour fêter leur titre en 2015. En février, plusieurs joueurs des New England Patriots, vainqueurs du Superbowl, avaient déjà décliné l'invitation de la Maison Blanche pour des raisons politiques.
Cette décision n'est pas suprenante puisque certains cadres de l'équipe d'Oakland n'ont jamais caché leur inimitié pour leur nouveau président. En février dernier, la star Stephen Curry, élu meilleur joueur de la défunte saison, avait indirectement traité Donald Trump d"'imbécile." Le coach Steve Kerr avait quant à lui ouvertement critiqué la politique de Trump sur l'immigration, l'estimant contraire aux valeurs américaines.
Alors que Barack Obama, grand fan des Chicago Bulls, pratique le basket-ball, Donald Trump préfère quant à lui le gazon des parcours de golf aux parquets cirés des salles NBA. Pas certain donc que ce boycott ne l'émeuve outre mesure.
Les Californiens rompent avec la tradition qui veut que les équipes lauréates d'un championnat nord-américain soient reçues à la Maison Blanche par le président en exercice. Ces mêmes Warriors avaient néanmoins accepté avec honneur l'invitation envoyée par Barack Obama pour fêter leur titre en 2015. En février, plusieurs joueurs des New England Patriots, vainqueurs du Superbowl, avaient déjà décliné l'invitation de la Maison Blanche pour des raisons politiques.
Cette décision n'est pas suprenante puisque certains cadres de l'équipe d'Oakland n'ont jamais caché leur inimitié pour leur nouveau président. En février dernier, la star Stephen Curry, élu meilleur joueur de la défunte saison, avait indirectement traité Donald Trump d"'imbécile." Le coach Steve Kerr avait quant à lui ouvertement critiqué la politique de Trump sur l'immigration, l'estimant contraire aux valeurs américaines.
Alors que Barack Obama, grand fan des Chicago Bulls, pratique le basket-ball, Donald Trump préfère quant à lui le gazon des parcours de golf aux parquets cirés des salles NBA. Pas certain donc que ce boycott ne l'émeuve outre mesure.