Un ancien footballeur, pensionnaire du club mythique Jaraaf a été poignardé à mort à hauteur du Stade Léopold Sédar Senghor. Mais un fait mérite d’attirer l’attention des enquêteurs qui sont sur cette affaire. D’après sa femme qui l’accompagnait la nuit de l’agression, les agresseurs qui s’en sont pris à son mari, n’ont rien emporté avec eux. C’est comme s’ils voulaient juste tuer Modou Ndiaye.
« L’un d’eux a empoigné mon mari en lui ordonnant de ne pas bouger, sinon il allait le tuer. Je suis intervenue pour leur dire de prendre ce qu’ils veulent et de nous laisser partir. Je leur ai même indiqué que mon mari avait un portable en main, un autre dans la poche de son pantalon et un porte-monnaie. J’ai dit à Modou de ne pas opposer de résistance et de leur donner tout ce qu’ils voulaient. Il a suivi mes conseils et n’a pas résisté (…) Dès que j’ai prononcé cela, un d’entre eux m’a bousculée en arrière (…) J’ai voulu crier pour appeler au secours mais il a menacé de me tuer si je proférais un son. Il m’a bousculé de nouveau et je suis tombée, ma tête a cogné le sol et à cet instant, je ne voyais plus rien. J’étais inconsciente », raconte Woré Ndiaye.
Qui révèle que les bourreaux de son défunt mari avaient d’autres objectifs que de le tuer. « Vous l’avez tué, venez m’achevez à mon tour ! Vous ne lui avez rien pris. Vous vouliez juste le tuer », leur aurait-elle dit après leur forfait. S'ils n'avaient pas l'intention de le déposséder de ses biens, pour quelle raison ont-ils décidé de l'assassiner ? La Zone d’ombre que les limiers perceront surement.
« L’un d’eux a empoigné mon mari en lui ordonnant de ne pas bouger, sinon il allait le tuer. Je suis intervenue pour leur dire de prendre ce qu’ils veulent et de nous laisser partir. Je leur ai même indiqué que mon mari avait un portable en main, un autre dans la poche de son pantalon et un porte-monnaie. J’ai dit à Modou de ne pas opposer de résistance et de leur donner tout ce qu’ils voulaient. Il a suivi mes conseils et n’a pas résisté (…) Dès que j’ai prononcé cela, un d’entre eux m’a bousculée en arrière (…) J’ai voulu crier pour appeler au secours mais il a menacé de me tuer si je proférais un son. Il m’a bousculé de nouveau et je suis tombée, ma tête a cogné le sol et à cet instant, je ne voyais plus rien. J’étais inconsciente », raconte Woré Ndiaye.
Qui révèle que les bourreaux de son défunt mari avaient d’autres objectifs que de le tuer. « Vous l’avez tué, venez m’achevez à mon tour ! Vous ne lui avez rien pris. Vous vouliez juste le tuer », leur aurait-elle dit après leur forfait. S'ils n'avaient pas l'intention de le déposséder de ses biens, pour quelle raison ont-ils décidé de l'assassiner ? La Zone d’ombre que les limiers perceront surement.