Le journaliste Cheikh Yérim Seck a été condamné à trois ans de prison ferme et à payer trois millions de francs CFA de dommages et intérêts. Il était poursuivi de viol sur l'étudiante Ndèye Aïssatou Tall.
Le juge a suivi le procureur qui avait requis trois ans de prison ferme contre l'ancien reporter à l'hebdomadaire Jeune Afrique et actuel administrateur du site d'informations Dakaractu.
"C’est une décision trop sévère, fortement critiquable et injustifiée (…)", a déclaré Me Abou Dialy Kane, assurant que la défense va faire appel de la décision dans un délai d’un mois dans l'espoir que ‘’les choses seront redressées’’ en deuxième instance.
Selon lui, cette décision ''n'est pas fondée en droit'' et est basée "sur des considérations qui n’ont rien à avoir avec le droit". Cheikh Yérim Seck ''n'est pas coupable sur le plan du droit'', a-t-il dit.
La partie civile a pour sa part parlé d'une ‘’décision très importante’’, parce que le tribunal a prononcé ‘’une déclaration de culpabilité’’. Cela ‘’va dissuader’’ des gens qui seraient tentés de commettre des viols, a dit Me Borso Pouye, selon qui "c’est le droit qui a été dit" dans cette affaire.
‘’Cette décision va l’astreindre au repos biologique (….)’’, a dit Me Pouye, rappelant que le minimum requis dans ce cas de figure est de 5 ans. Le mis en cause ‘’a bénéficié de circonstances atténuantes, c’est la raison pour laquelle il a écopé d’une peine en deçà (de 5 ans)’’, a-t-elle souligné.
A propos des dommages et intérêts, Me Borso Pouye a indiqué qu’ils seront versés à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes.
Le juge a suivi le procureur qui avait requis trois ans de prison ferme contre l'ancien reporter à l'hebdomadaire Jeune Afrique et actuel administrateur du site d'informations Dakaractu.
"C’est une décision trop sévère, fortement critiquable et injustifiée (…)", a déclaré Me Abou Dialy Kane, assurant que la défense va faire appel de la décision dans un délai d’un mois dans l'espoir que ‘’les choses seront redressées’’ en deuxième instance.
Selon lui, cette décision ''n'est pas fondée en droit'' et est basée "sur des considérations qui n’ont rien à avoir avec le droit". Cheikh Yérim Seck ''n'est pas coupable sur le plan du droit'', a-t-il dit.
La partie civile a pour sa part parlé d'une ‘’décision très importante’’, parce que le tribunal a prononcé ‘’une déclaration de culpabilité’’. Cela ‘’va dissuader’’ des gens qui seraient tentés de commettre des viols, a dit Me Borso Pouye, selon qui "c’est le droit qui a été dit" dans cette affaire.
‘’Cette décision va l’astreindre au repos biologique (….)’’, a dit Me Pouye, rappelant que le minimum requis dans ce cas de figure est de 5 ans. Le mis en cause ‘’a bénéficié de circonstances atténuantes, c’est la raison pour laquelle il a écopé d’une peine en deçà (de 5 ans)’’, a-t-elle souligné.
A propos des dommages et intérêts, Me Borso Pouye a indiqué qu’ils seront versés à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes.