Le Quotidien » déplore le fait que « les crédits (sont) consommés à un rythme anormal ». « 60% du budget 2012 (sont) épuisés en 3 mois ». « De janvier à mars, Abdoulaye Wade, le président de la République, a complètement épuisé les fonds politiques qui lui étaient alloués et a dépensé 60% des crédits de fonctionnement sur le budget 2012 de la Présidence de la République », écrit « Le Quotidien ». Selon « Le Quotidien », « avant et pendant l’élection présidentielle de 2012, le candidat Abdoulaye Wade n’a pas lésiné sur les dépenses pour assurer sa réélection pour un troisième mandat. Ce qui risque d’être lourd de conséquences ».
« EnQuête » note que Macky Sall « n’aura pas d’état de grâce » s’il est élu président de la République et donne la parole au professeur Abdoulaye Bathily qui explique « les pièges que doit éviter Macky ». « Ce qui est arrivé à Abdoulaye Wade aujourd’hui peut arriver à n’importe quel autre président de la République élu au Sénégal. C’est-à-dire quand on trahit ses engagements et on fait autre chose pour laquelle les électeurs vous ont élu, vous tomberez dans les mêmes travers que Wade », déclare Abdoulaye Bathily, dans les colonnes de « EnQuête ».
« L’As » informe que « le meeting des Fal prévu demain (est) finalement renvoyé à Jeudi ». Ce qui fait dire à « L’As » que « la bataille de Thiès entre Wade et Macky n’aura pas lieu ».
« Le Populaire » indique que « Wade fuit l’humiliation », c’est pourquoi il « évite Idrissa Seck, Bara Tall et Macky Sall ». Dans « Le Populaire », Moussa Diao, le porte-parole du mouvement « yamalé » de Bara Tall, explique le report du meeting de Wade : « C’est pour éviter de faire un flop. Notre mobilisation allait lui faire très mal ».
Dans « L’Observateur », « Cyrille Touré alias « Thiat » du mouvement « y en a marre » explique que « si les gourdins faisaient rester au pouvoir, les Bour Sine, Lat Dior, et Maba Diakhou Bâ auraient gardé leurs royaumes ».
« L’As » revient sur le « procès en annulation des mandats d’arrêts visant Youssouph Sakho, Babacar Gaye et Cie ».
« Walfadjri » explique que « après deux heures et demie de plaidoirie, hier, le juge de la chambre d’instruction de Paris va rendre sa décision le 7 mai prochain. Et les deux parties retiennent leur souffle, même si elles peuvent se pourvoir en cassation si le juge ne va pas dans le sens voulu par l’une d’entre elles. Ce qui laisse entendre que la bataille de procédure n’est pas encore terminée ».
« Walf Grand-Place » parle des prédictions sur le second tour pour dire que « Béthio Thioune et (les) saltigués renvoyés dos à dos ».
« EnQuête » note que Macky Sall « n’aura pas d’état de grâce » s’il est élu président de la République et donne la parole au professeur Abdoulaye Bathily qui explique « les pièges que doit éviter Macky ». « Ce qui est arrivé à Abdoulaye Wade aujourd’hui peut arriver à n’importe quel autre président de la République élu au Sénégal. C’est-à-dire quand on trahit ses engagements et on fait autre chose pour laquelle les électeurs vous ont élu, vous tomberez dans les mêmes travers que Wade », déclare Abdoulaye Bathily, dans les colonnes de « EnQuête ».
« L’As » informe que « le meeting des Fal prévu demain (est) finalement renvoyé à Jeudi ». Ce qui fait dire à « L’As » que « la bataille de Thiès entre Wade et Macky n’aura pas lieu ».
« Le Populaire » indique que « Wade fuit l’humiliation », c’est pourquoi il « évite Idrissa Seck, Bara Tall et Macky Sall ». Dans « Le Populaire », Moussa Diao, le porte-parole du mouvement « yamalé » de Bara Tall, explique le report du meeting de Wade : « C’est pour éviter de faire un flop. Notre mobilisation allait lui faire très mal ».
Dans « L’Observateur », « Cyrille Touré alias « Thiat » du mouvement « y en a marre » explique que « si les gourdins faisaient rester au pouvoir, les Bour Sine, Lat Dior, et Maba Diakhou Bâ auraient gardé leurs royaumes ».
« L’As » revient sur le « procès en annulation des mandats d’arrêts visant Youssouph Sakho, Babacar Gaye et Cie ».
« Walfadjri » explique que « après deux heures et demie de plaidoirie, hier, le juge de la chambre d’instruction de Paris va rendre sa décision le 7 mai prochain. Et les deux parties retiennent leur souffle, même si elles peuvent se pourvoir en cassation si le juge ne va pas dans le sens voulu par l’une d’entre elles. Ce qui laisse entendre que la bataille de procédure n’est pas encore terminée ».
« Walf Grand-Place » parle des prédictions sur le second tour pour dire que « Béthio Thioune et (les) saltigués renvoyés dos à dos ».