‘’ Nous voulons accéder au marché sénégalais du poulet pour plusieurs raisons. L’une des raisons, nous sommes en mesure de produire et de fournir de poulets à bas prix. Notre production de poulets est très bonne, ce qui nous permet de vendre la viande de poulets moins cher. Nous n'allons fournir que des cuisses de poulet, ce qui ne va pas impacter sur la production locale’’, a-t-il notamment dit.
Le président de l’USAPEEC s’entretenait avec un groupe de journalistes sénégalais dans le cadre d’un voyage de presse à Atlanta (Georgia, USA) sur la filière avicole américaine.
Les autorités sénégalaises ont interdit, depuis octobre 2005, l’importation de poulets congelés. Cette interdiction est toujours en vigueur et s'applique à tous les pays.
L'industrie avicole sénégalaise a augmenté sa production totale depuis l'annonce de cette mesure, et cela malgré, le choc créé début 2006 par la grippe aviaire, notent les statistiques du ministère de l’Elevage.
Le secteur représente 17 % de la contribution de l'industrie animale au PIB et emploie environ 10.000 personnes.
‘’La levée de l’interdiction ne va pas à l’encontre de la production locale. Les consommateurs pourront consommer le poulet frais produit par les producteurs locaux. Ils auront une option de poulets congelés. Nous voulons augmenter la disponibilité du poulet au Sénégal et aussi améliorer le régime alimentaire des Sénégalais’’, a défendu James Sumner.
Selon le président de l’instance fédérale américaine d’exportations de produits avicoles, la viande de poulet coûte relativement moins cher.
‘’ Nous avons amené la semaine dernière une délégation gouvernementale à visiter nos fermes et les usines de production. Ils ont vu tous les tests que nous menons pour la prévention de la grippe aviaire. J’espère qu’ils sont apaisés et vont agir ‘’, a-t-il expliqué.
James Sumner a souligné qu’il n’y a pas de sens à faire de restriction sur la volaille américaine, dans la mesure où les Etats-Unis restent parmi les pays à ne pas avoir connu l’épidémie de grippe aviaire.
‘’ Nous sommes ouverts à travailler avec le gouvernement pour développer d’abord les standards et les normes de sécurité. Ensuite, nous sommes prêts à organiser des sessions de formations pour élever le niveau de sécurité, parce que c’est une grande partie de l’alimentation’’, a ajouté le président de l’USAPEEC.
Se projetant sur une éventuelle levée de l’interdiction des importations de volaille, il a précisé qu’il existe plusieurs opportunités d’emplois. James Sumner a cité, entre autres, l’installation d’usines de traitement de cuisses de poulets et des chaînes de froid.
Créée en 1985, l’USAPEEC assure 95 % des exportations américaines de produits avicoles. Les Etats-Unis produisent 20 millions de tonnes de poulets, de dindes, de canards et plus de 200 millions de cartons d’œufs par année.
Le président de l’USAPEEC s’entretenait avec un groupe de journalistes sénégalais dans le cadre d’un voyage de presse à Atlanta (Georgia, USA) sur la filière avicole américaine.
Les autorités sénégalaises ont interdit, depuis octobre 2005, l’importation de poulets congelés. Cette interdiction est toujours en vigueur et s'applique à tous les pays.
L'industrie avicole sénégalaise a augmenté sa production totale depuis l'annonce de cette mesure, et cela malgré, le choc créé début 2006 par la grippe aviaire, notent les statistiques du ministère de l’Elevage.
Le secteur représente 17 % de la contribution de l'industrie animale au PIB et emploie environ 10.000 personnes.
‘’La levée de l’interdiction ne va pas à l’encontre de la production locale. Les consommateurs pourront consommer le poulet frais produit par les producteurs locaux. Ils auront une option de poulets congelés. Nous voulons augmenter la disponibilité du poulet au Sénégal et aussi améliorer le régime alimentaire des Sénégalais’’, a défendu James Sumner.
Selon le président de l’instance fédérale américaine d’exportations de produits avicoles, la viande de poulet coûte relativement moins cher.
‘’ Nous avons amené la semaine dernière une délégation gouvernementale à visiter nos fermes et les usines de production. Ils ont vu tous les tests que nous menons pour la prévention de la grippe aviaire. J’espère qu’ils sont apaisés et vont agir ‘’, a-t-il expliqué.
James Sumner a souligné qu’il n’y a pas de sens à faire de restriction sur la volaille américaine, dans la mesure où les Etats-Unis restent parmi les pays à ne pas avoir connu l’épidémie de grippe aviaire.
‘’ Nous sommes ouverts à travailler avec le gouvernement pour développer d’abord les standards et les normes de sécurité. Ensuite, nous sommes prêts à organiser des sessions de formations pour élever le niveau de sécurité, parce que c’est une grande partie de l’alimentation’’, a ajouté le président de l’USAPEEC.
Se projetant sur une éventuelle levée de l’interdiction des importations de volaille, il a précisé qu’il existe plusieurs opportunités d’emplois. James Sumner a cité, entre autres, l’installation d’usines de traitement de cuisses de poulets et des chaînes de froid.
Créée en 1985, l’USAPEEC assure 95 % des exportations américaines de produits avicoles. Les Etats-Unis produisent 20 millions de tonnes de poulets, de dindes, de canards et plus de 200 millions de cartons d’œufs par année.