La sortie de l’ancien reporter de Jeuneafrique, Cheikh Yérim Seck, le wekk-end n’est du tout du goût des jeunes chefs religieux sénégalais. Très en colère, contre M Seck qui expliquait lors du lancement de son mouvement politique le week-end que : « Si on vous parle de mon incarcération, convoquez l’histoire du prophète Youssouf, qui a été accusé à tort et emprisonné ».
Justement sur cet exemple, les jeunes chefs religieux estiment que « Yérim n’est pas Youssouf ». Justifiant leur argument, Serigne Pape Ndièguène explique : « Youssouf était un homme d’une beauté extraordinaire. Il était tellement beau que les filles courraient après lui… Il a tout fait pour les éviter en vain, parce qu’il n’est pas marié. Pour éviter quoique ce soit, il avait demandé à Dieu de l’emprisonner pour éviter une dérive... Vous voyez que le saint est très différent de Cheikh Yérim Seck ». Pour eux, le journaliste doit arrêter car leurs parcours ne se ressemblent absolument pas.
Justement sur cet exemple, les jeunes chefs religieux estiment que « Yérim n’est pas Youssouf ». Justifiant leur argument, Serigne Pape Ndièguène explique : « Youssouf était un homme d’une beauté extraordinaire. Il était tellement beau que les filles courraient après lui… Il a tout fait pour les éviter en vain, parce qu’il n’est pas marié. Pour éviter quoique ce soit, il avait demandé à Dieu de l’emprisonner pour éviter une dérive... Vous voyez que le saint est très différent de Cheikh Yérim Seck ». Pour eux, le journaliste doit arrêter car leurs parcours ne se ressemblent absolument pas.