Arborant des brassards rouges, brandissant des pancartes sur lesquels sont inscrites « Bambo dégage, toi et ton équipe », quittant, de l’entrée de la ville vers l’ouest, ils ont marché jusqu’à la devanture de la mairie pour montrer leur mécontentement. Il y avait une foule énorme de jeunes qui étaient déterminés à aller jusqu’au fond de leur objectif, c’est-à-dire montrer qu’ils sont en déphase avec la municipalité dont –ils estiment qu’après avoir constaté un échec total, et une incompétence avérée sur tous les secteurs à savoir l’éducation bradissant un slogan des écoles à la portée de tout espèce. Non sans oublier de citer dans leur lot de doléances l’insécurité qui sévit avec un manque d’électricité dans plusieurs quartiers de la commune, le manque d’eau potable, la prise en charge des étudiants dans les différentes universités du pays, l’absence de primes de motivations aux meilleurs élèves, le foncier sur lequel, ils estiment que le maire et son entourage effectuent une vente illicite de terrains à des gens qui ne sont pas natifs de la circonscription au détriment des gens populations de la commune de Diaobé-Kabendou, ce qu’ils jugent tout à fait anormal à leurs yeux martelant que les terres que la municipalité est entrain de ventre leur appartiennent. « Nous n’accepterons jamais au plus grand jamais que le maire et son équipe se permettent de vendre nos terres à des individus qui ne sont mêmes pas natifs ou encore qui ne résident pas dans notre commune. Nous trouvons cela à normal, ce n’est pas normal qu’ils vendent nos terres alors que nous les populations de Diaobé nous n’avons pas là, où, résider, c’est une chose imaginable. Tout ce que nous voulons, c’est l’arrêt immédiat de la vente des terres », a martelé Lamarana Baldé, le président des jeunes de la commune.
Le secteur de la santé était aussi au cœur de leurs revendications. Dans ce domaine, les jeunes fustigent l’arrivée tardive des fonds de concours et les cas sociaux non réalisés. Ils ont aussi dénoncé la mauvaise gestion de l’équipe municipale qui selon eux fait usage de l’argent du contribuable en créant des emplois fictifs à la mairie pour des satisfactions partisanes. Tous ces facteurs ont fait que les jeunes de la commune de Diaobé-Kabendou étaient descendus dans la rue pour exprimer leur sentiment de colère.
D’ailleurs, ils ont listé toute cette panoplie de doléance dans une circulaire qu’ils ont appelé le mémorandum des jeunes de Diaobé-Kabendou qu’ils ont remis au secrétaire municipale, Ibrahima Diaby qui à son tour affirme que le dossier sera remis au maire dès son retour car la manifestation.
Néanmoins, monsieur Diaby a tenu à apporter des éclaircissements sur certains points à savoir la question du foncier qui d’ailleurs a suscité beaucoup de polémique estiment que la mairie a hérité d’une situation très confuse quand on érigeait Diaobé-Kabendou en commune déclarant que ce n’est pas une vente illicite de terre qu’ils sont entrain de faire actuellement, mais plus une remise dans l’ordre dans l’attribution de terres dans ladite commune car lors que leur localité était dans la communauté rurale de Kounkané, il y avait des gens qui ont bénéficié de terrains dans la collectivité locale. Donc, il fallait apporter des changements à ce niveau et c’est qu’ils sont entrain de faire.
Concernant les fonds de dotations, il estime que cela ne dépend pas d’eux si les populations n’ont pu bénéficier car dit-il que cela dépend de ce que l’Etat met leur disposition estimant que se sont seulement 3 millions qui a été mis à leur disposition et ce sont ces 3 millions qu’ils comptent utiliser pour électrifier les quartiers de Soutouré, Maréwé et Guaba qui sont dans les ténèbres.
Il faut signaler que la manifestations qui a était organisé par les jeunes de commune de Diaobé-Kabendou s’est tenue sans aucun incident majeur. Sinon à noter que la matinée de 08h à 11h tous les boutiques n’avaient as ouvert jusqu’à la fin de la manifestation qui était d’ailleurs encadrée par les hommes en bleu du poste de gendarmerie de Diaobé.
ABDOULAYE WANDIANGA (correspodance).
Le secteur de la santé était aussi au cœur de leurs revendications. Dans ce domaine, les jeunes fustigent l’arrivée tardive des fonds de concours et les cas sociaux non réalisés. Ils ont aussi dénoncé la mauvaise gestion de l’équipe municipale qui selon eux fait usage de l’argent du contribuable en créant des emplois fictifs à la mairie pour des satisfactions partisanes. Tous ces facteurs ont fait que les jeunes de la commune de Diaobé-Kabendou étaient descendus dans la rue pour exprimer leur sentiment de colère.
D’ailleurs, ils ont listé toute cette panoplie de doléance dans une circulaire qu’ils ont appelé le mémorandum des jeunes de Diaobé-Kabendou qu’ils ont remis au secrétaire municipale, Ibrahima Diaby qui à son tour affirme que le dossier sera remis au maire dès son retour car la manifestation.
Néanmoins, monsieur Diaby a tenu à apporter des éclaircissements sur certains points à savoir la question du foncier qui d’ailleurs a suscité beaucoup de polémique estiment que la mairie a hérité d’une situation très confuse quand on érigeait Diaobé-Kabendou en commune déclarant que ce n’est pas une vente illicite de terre qu’ils sont entrain de faire actuellement, mais plus une remise dans l’ordre dans l’attribution de terres dans ladite commune car lors que leur localité était dans la communauté rurale de Kounkané, il y avait des gens qui ont bénéficié de terrains dans la collectivité locale. Donc, il fallait apporter des changements à ce niveau et c’est qu’ils sont entrain de faire.
Concernant les fonds de dotations, il estime que cela ne dépend pas d’eux si les populations n’ont pu bénéficier car dit-il que cela dépend de ce que l’Etat met leur disposition estimant que se sont seulement 3 millions qui a été mis à leur disposition et ce sont ces 3 millions qu’ils comptent utiliser pour électrifier les quartiers de Soutouré, Maréwé et Guaba qui sont dans les ténèbres.
Il faut signaler que la manifestations qui a était organisé par les jeunes de commune de Diaobé-Kabendou s’est tenue sans aucun incident majeur. Sinon à noter que la matinée de 08h à 11h tous les boutiques n’avaient as ouvert jusqu’à la fin de la manifestation qui était d’ailleurs encadrée par les hommes en bleu du poste de gendarmerie de Diaobé.
ABDOULAYE WANDIANGA (correspodance).