Un procès qui promet d’être riches en révélations si l’on sait que devant les limiers de la brigade des mœurs, les cinq femmes appréhendées par la police alors qu’elles célébraient l’anniversaire de l’une d’elle de manière osée n’ont pas renié leur penchant homosexuel. Loin de là. Elles ont toutes reconnu être des lesbiennes.
N. S. Dieng, 32 ans, qui se trouve être la directrice adjointe d’un discret organisme d’obédience lesbienne présent au Sénégal et dénommée « Sourire de femme » admet que la plupart des filles qui étaient présentes à l’anniversaire sont des lesbiennes. En ce qui la concerne, elle avoue être lesbienne depuis l’âge de 12 ans. Situation qui, dit-elle, ne lui plait pas, mais elle n’a pas le choix.
L’organisatrice de la soirée B.N. Dieng qui est née en 1997 quant à elle a reconnu s’être accoquinée avec des lesbiennes même si elle nie en être une. Pour en donner la preuve, elle invoque son statut de mère divorcée. Mais elle est confondue par la police qui dit l’avoir surpris en train de s’embrasser avec une certaine N. Ndoye alias Bébé Chou.
Laquelle n’a pas bonne presse. Ancienne prostituée qui a été radiée du fichier sanitaire, elle s’est recyclée dans le lesbianisme. Bébé Chou bat sa coulpe et révèle aux enquêteurs qu’à l’arrivée des policiers au Piano-Piano, elle avait pris quelques verres et commençait à perdre ses moyens des œuvres de l'alcool. Les pratiques lesbiennes, elle en a faits son dada depuis 2010, admet-elle.
Les deux concubines N. Diallo alias Hélène, 31 ans et C. Sao emprunteront la même voie en assumant leur statut d’homosexuelles. La première dit n’avoir jamais eu de relations sexuelles avec un garçon. Ce qui n’est le cas de la deuxième qui est plutôt une bisexuelle puisqu’elle confie aux enquêteurs qu’elle a un copain.
Comme vous l’avez constaté, elles ont à l’unanimité reconnue leur statut de lesbiennes mais ce qu’elles ont par contre botté en touche, c’est de s’être données en spectacle dans ce bar, fermé depuis hier par le Préfet de Dakar. Leur procès éclairera notre lanterne.
N. S. Dieng, 32 ans, qui se trouve être la directrice adjointe d’un discret organisme d’obédience lesbienne présent au Sénégal et dénommée « Sourire de femme » admet que la plupart des filles qui étaient présentes à l’anniversaire sont des lesbiennes. En ce qui la concerne, elle avoue être lesbienne depuis l’âge de 12 ans. Situation qui, dit-elle, ne lui plait pas, mais elle n’a pas le choix.
L’organisatrice de la soirée B.N. Dieng qui est née en 1997 quant à elle a reconnu s’être accoquinée avec des lesbiennes même si elle nie en être une. Pour en donner la preuve, elle invoque son statut de mère divorcée. Mais elle est confondue par la police qui dit l’avoir surpris en train de s’embrasser avec une certaine N. Ndoye alias Bébé Chou.
Laquelle n’a pas bonne presse. Ancienne prostituée qui a été radiée du fichier sanitaire, elle s’est recyclée dans le lesbianisme. Bébé Chou bat sa coulpe et révèle aux enquêteurs qu’à l’arrivée des policiers au Piano-Piano, elle avait pris quelques verres et commençait à perdre ses moyens des œuvres de l'alcool. Les pratiques lesbiennes, elle en a faits son dada depuis 2010, admet-elle.
Les deux concubines N. Diallo alias Hélène, 31 ans et C. Sao emprunteront la même voie en assumant leur statut d’homosexuelles. La première dit n’avoir jamais eu de relations sexuelles avec un garçon. Ce qui n’est le cas de la deuxième qui est plutôt une bisexuelle puisqu’elle confie aux enquêteurs qu’elle a un copain.
Comme vous l’avez constaté, elles ont à l’unanimité reconnue leur statut de lesbiennes mais ce qu’elles ont par contre botté en touche, c’est de s’être données en spectacle dans ce bar, fermé depuis hier par le Préfet de Dakar. Leur procès éclairera notre lanterne.