Toutes les puces téléphoniques non identifiées seront désactivées le 30 novembre 2015, par mesure de sécurité, a averti jeudi le ministre des Postes et des Télécommunications, Yaya Abdoul Kane.
"Pour l’identification des puces téléphoniques, face aux défis de sécurité, toutes les puces non identifiées seront désactivées à partir du 30 novembre 2015. On le fait pour renforcer la sécurité", a-t-il dit lors du vote du budget 2016 de son département.
Selon lui, en rapport avec la gendarmerie et la police, une "batterie de mesures a été prise" relativement aux "vendeurs de puces au niveau des rues". Il a indiqué qu’‘’une injonction sera faite aux opérateurs, pour qu’il n’y ait pas plus de trois numéros par client’’.
Le ministre des Télécommunications a rassuré par ailleurs les députés sur la question relative aux appels entrants. Il a rappelé que la suppression de la surtaxe décidée par l’Etat du Sénégal est effective, et que l’ARTP mène un audit qui va permettre d’édifier sur les coûts réels.
Dans le cadre du basculement vers le numérique, M. Kane est revenu sur la volonté de son département de veiller au respect des termes de la convention signée avec la société Excaf, qui doit distribuer 865 mille décodeurs au prix unitaire de 10 mille francs CFA.
Selon lui, l’Etat du Sénégal prendra les mesures appropriées si, à la date du 31 décembre de cette année, la société ne respecte pas ses engagements. ’’Une commission a été créée pour accélérer la finalisation du processus’’, a-t-il ajouté.
Concernant le défaut noté dans la couverture téléphonique et la connexion internet, le ministre des Postes a assuré que les endroits non couverts ont été identifiés et que des correctifs vont être apportés.
"Quant aux problèmes liés à l’interconnexion entre les opérateurs, l’ARTP est en train de travailler sur la question", a-t-il signalé.
Il a souligné que son ministère "œuvre à la révision du cadre juridique des télécommunications/ TIC en 2016, avec le souhait de faire de l’économie numérique un moteur de croissance et de développement".
Il a signalé que son département compte faire profiter de l’expérience de l’opérateur téléphonique Hayo, installé dans la région de Matam, aux autres régions non couvertes. Mais, au préalable, "il faudra lever les difficultés rencontrées par cet opérateur", a-t-il fait remarquer.
Il a fait état d’un "autre projet visant à assurer la couverture de toutes les collectivités locales et des écoles’’.
"Les mesures d’accompagnement pour cette société devrait se présenter en terme de mesures fiscales et d’exonérations", a expliqué de son côté le ministre délégué en charge du Budget, Birima Mangara.
Selon lui, "une telle mesure est du domaine de la loi, et la procédure réglementaire est stricte". Il estime qu’’’il faudrait que cette société en formule la requête et que l’on étudie son impact dans l’économie nationale pour intervenir".
"Pour l’identification des puces téléphoniques, face aux défis de sécurité, toutes les puces non identifiées seront désactivées à partir du 30 novembre 2015. On le fait pour renforcer la sécurité", a-t-il dit lors du vote du budget 2016 de son département.
Selon lui, en rapport avec la gendarmerie et la police, une "batterie de mesures a été prise" relativement aux "vendeurs de puces au niveau des rues". Il a indiqué qu’‘’une injonction sera faite aux opérateurs, pour qu’il n’y ait pas plus de trois numéros par client’’.
Le ministre des Télécommunications a rassuré par ailleurs les députés sur la question relative aux appels entrants. Il a rappelé que la suppression de la surtaxe décidée par l’Etat du Sénégal est effective, et que l’ARTP mène un audit qui va permettre d’édifier sur les coûts réels.
Dans le cadre du basculement vers le numérique, M. Kane est revenu sur la volonté de son département de veiller au respect des termes de la convention signée avec la société Excaf, qui doit distribuer 865 mille décodeurs au prix unitaire de 10 mille francs CFA.
Selon lui, l’Etat du Sénégal prendra les mesures appropriées si, à la date du 31 décembre de cette année, la société ne respecte pas ses engagements. ’’Une commission a été créée pour accélérer la finalisation du processus’’, a-t-il ajouté.
Concernant le défaut noté dans la couverture téléphonique et la connexion internet, le ministre des Postes a assuré que les endroits non couverts ont été identifiés et que des correctifs vont être apportés.
"Quant aux problèmes liés à l’interconnexion entre les opérateurs, l’ARTP est en train de travailler sur la question", a-t-il signalé.
Il a souligné que son ministère "œuvre à la révision du cadre juridique des télécommunications/ TIC en 2016, avec le souhait de faire de l’économie numérique un moteur de croissance et de développement".
Il a signalé que son département compte faire profiter de l’expérience de l’opérateur téléphonique Hayo, installé dans la région de Matam, aux autres régions non couvertes. Mais, au préalable, "il faudra lever les difficultés rencontrées par cet opérateur", a-t-il fait remarquer.
Il a fait état d’un "autre projet visant à assurer la couverture de toutes les collectivités locales et des écoles’’.
"Les mesures d’accompagnement pour cette société devrait se présenter en terme de mesures fiscales et d’exonérations", a expliqué de son côté le ministre délégué en charge du Budget, Birima Mangara.
Selon lui, "une telle mesure est du domaine de la loi, et la procédure réglementaire est stricte". Il estime qu’’’il faudrait que cette société en formule la requête et que l’on étudie son impact dans l’économie nationale pour intervenir".