Pour se rendre à leur de travail ou regagner leur domicile, certains dakarois ont dû en effet débourser beaucoup plus d’argent que d’habitude.
‘’S’ils continuent la grève, il y aura forcément de lourdes conséquences sur les passagers mais aussi ça va impacter l’économie nationale’’, estime Abdou Ba, un homme d'une cinquantaine d'année trouvé près du Building administratif.
‘’Voilà, maintenant, je suis obligé de payer le taxi à 2000 FCFA pour me rendre chez moi à Rufisque, car je ne peux pas rester là avec un patient que j’avais amené ici à l’hôpital Principal. Avec les bus, tu paies 300 FCFA’’, déplore de son côté Cheikh Seck.
Pour rallier le lycée Blaise Diagne, "je suis obligé de discuter avec un taximan pour payer 500 ou 750 FCFA. Or, je n’ai même pas 1000 F avec moi. Au cas où je ne parviens pas à convaincre un taximan avec une somme de 500f, je serais donc obligé de marcher jusqu’au Tilène pour prendre un car rapide’’, se lamente Modou Ndiaye.
Cette grève des travailleurs de DDD est durement ressentie chez les usagers qui sont obligés de se rabattre sur les autres transports en commun pour pallier l'absence de bus.
‘’S’ils continuent la grève, il y aura forcément de lourdes conséquences sur les passagers mais aussi ça va impacter l’économie nationale’’, estime Abdou Ba, un homme d'une cinquantaine d'année trouvé près du Building administratif.
‘’Voilà, maintenant, je suis obligé de payer le taxi à 2000 FCFA pour me rendre chez moi à Rufisque, car je ne peux pas rester là avec un patient que j’avais amené ici à l’hôpital Principal. Avec les bus, tu paies 300 FCFA’’, déplore de son côté Cheikh Seck.
Pour rallier le lycée Blaise Diagne, "je suis obligé de discuter avec un taximan pour payer 500 ou 750 FCFA. Or, je n’ai même pas 1000 F avec moi. Au cas où je ne parviens pas à convaincre un taximan avec une somme de 500f, je serais donc obligé de marcher jusqu’au Tilène pour prendre un car rapide’’, se lamente Modou Ndiaye.
Cette grève des travailleurs de DDD est durement ressentie chez les usagers qui sont obligés de se rabattre sur les autres transports en commun pour pallier l'absence de bus.