Les femmes de l’Observatoire citoyen pour la défense des institutions (Ocdi) se sont rendues vendredi au siège des Nations Unies à Dakar pour déposer « une plainte ». Elles demandent que les Nations unies fassent pression sur le Sénégal pour le respect de l’avis du Groupe de travail de l’ONU qui a conclu que Karim Wade est détenu arbitrairement.
« Ce n’est pas responsable de la part de l’État de parler de souveraineté, vu qu’il est membre des Nations Unies et n’a pas hésité à envoyer une batterie d’avocats pour se défendre », déclare Hawa Abdoul Bâ, présidente de l’Ocdi, dans les colonnes du journal « Le Populaire ».
Mme Bâ et ses camarades veulent que l’État du Sénégal, « débouté de son recours introduit auprès de lui », « de se conformer à cet avis, par la libération immédiate et sans condition du sieur Wade et en l’indemnisant à la hauteur du préjudice subi ».
« Ce n’est pas responsable de la part de l’État de parler de souveraineté, vu qu’il est membre des Nations Unies et n’a pas hésité à envoyer une batterie d’avocats pour se défendre », déclare Hawa Abdoul Bâ, présidente de l’Ocdi, dans les colonnes du journal « Le Populaire ».
Mme Bâ et ses camarades veulent que l’État du Sénégal, « débouté de son recours introduit auprès de lui », « de se conformer à cet avis, par la libération immédiate et sans condition du sieur Wade et en l’indemnisant à la hauteur du préjudice subi ».