En tout cas la question est sur toutes les lèvres des observateurs de la Crise casamançaise. Et pour cause, les pourparlers entrepris par les deux parties pour la libération des neuf otages arrêtés à Kaylou dans l’arrondissement de Niassya ont accouché hier d’une souris.
A qui la faute si l’Etat n’est pas revenu avec ces otages, des discussions avec la faction du MFDC de César Atoute Badiate ? Tout est parti de l’accord que le gouvernement Sénégalais a accepté de signer le 20 mars dernier avec le MFDC à Sao Domingo (Guinée Bissau) : lesquels stipulent qu’il n’aura pas de dépassement de la ligne de démarcation comme prévu, en ce qui concerne le processus de déminage.
Mais tel n’a pas été le cas de l’Etat, qui à travers le Centre national d’action anti mines(Cnams) et l’ONG, Appran qui a recrutés les démineurs, a violé, osons le dire ce pacte. Erreur ou simple volonté de provocation ? En tout cas, les conséquences, personne ne les ignore. Car il faut reconnaître que cette branche a non seulement arrondi les angles en libérant les trois femmes tout récemment, contrairement à l’Etat qui aujourd’hui, ne veut pas reconnaître son erreur comme le lui a si bien demandé César Atoute Badiate pendant leur réunion d’hier.
Aujourd’hui, force est de constater que la balle du retour définitif de la paix en Casamance est bel est bien dans le camp de l’Etat. D’abord, non seulement, des propositions majeures émises à l’époque, par l’ancien SG du MDFC, Abbe Diamacoune Senghor, le retrait des contingents de l’armée parsemés dans toute la région, n’a pas été suivi, mais Salif Sadio, le chef de la branche armée « Attika » a libéré 8 soldats sénégalais qu’il avait pris en otage en 2012.
Et le tout dernier acte posé par la faction de César Atoute Badiate, est la libération des trois femmes, qui faisaient partie des 12 otages pris dans la forêt de Kaylou.
A qui la faute si l’Etat n’est pas revenu avec ces otages, des discussions avec la faction du MFDC de César Atoute Badiate ? Tout est parti de l’accord que le gouvernement Sénégalais a accepté de signer le 20 mars dernier avec le MFDC à Sao Domingo (Guinée Bissau) : lesquels stipulent qu’il n’aura pas de dépassement de la ligne de démarcation comme prévu, en ce qui concerne le processus de déminage.
Mais tel n’a pas été le cas de l’Etat, qui à travers le Centre national d’action anti mines(Cnams) et l’ONG, Appran qui a recrutés les démineurs, a violé, osons le dire ce pacte. Erreur ou simple volonté de provocation ? En tout cas, les conséquences, personne ne les ignore. Car il faut reconnaître que cette branche a non seulement arrondi les angles en libérant les trois femmes tout récemment, contrairement à l’Etat qui aujourd’hui, ne veut pas reconnaître son erreur comme le lui a si bien demandé César Atoute Badiate pendant leur réunion d’hier.
Aujourd’hui, force est de constater que la balle du retour définitif de la paix en Casamance est bel est bien dans le camp de l’Etat. D’abord, non seulement, des propositions majeures émises à l’époque, par l’ancien SG du MDFC, Abbe Diamacoune Senghor, le retrait des contingents de l’armée parsemés dans toute la région, n’a pas été suivi, mais Salif Sadio, le chef de la branche armée « Attika » a libéré 8 soldats sénégalais qu’il avait pris en otage en 2012.
Et le tout dernier acte posé par la faction de César Atoute Badiate, est la libération des trois femmes, qui faisaient partie des 12 otages pris dans la forêt de Kaylou.