SETAL.NET - En accordant la liberté conditionnelle à plusieurs détenus dont les plus célèbres sont Cheikh Yérim Seck, Tamsir Jupiter Ndiaye et Luc Nicolaï, la chancellerie s’est attiré les foudres de l’Union des magistrats du Sénégal qui, n’est pas seule à dénoncer les écarts de conduite de Sidiki Kaba.
Des avocats ont embouché la même trompette. Pour ces robes noires accrochées par la RFM, certaines infractions ne devraient pas faire l’objet de liberté conditionnelle. Lesquelles ? Le viol, le meurtre et les actes contre-nature etc.
À les en croire, l’octroi de la liberté conditionnelle doit se faire dans les règles de l’art, c'est-à-dire le détenu qui doit en bénéficier doit purger la moitié de sa peine, la décision du tribunal à son encontre doit être définitive entre autres critères requis. Mais apparemment, le ministère de la Justice n'en a cure.
Des avocats ont embouché la même trompette. Pour ces robes noires accrochées par la RFM, certaines infractions ne devraient pas faire l’objet de liberté conditionnelle. Lesquelles ? Le viol, le meurtre et les actes contre-nature etc.
À les en croire, l’octroi de la liberté conditionnelle doit se faire dans les règles de l’art, c'est-à-dire le détenu qui doit en bénéficier doit purger la moitié de sa peine, la décision du tribunal à son encontre doit être définitive entre autres critères requis. Mais apparemment, le ministère de la Justice n'en a cure.