Les victimes se comptent par centaines après de violents heurts à Tripoli en Libye ce vendredi. Des dizaines de personnes ont perdu la vie et près de 400 autres ont été blessées, selon un bilan fourni dans la soirée par le gouvernement. Un gouvernement, apparemment impuissant, qui a même demandé “aux factions armées” un cessez-le-feu.
Tout a commencé avec des tirs qui ont retenti alors que des centaines d’habitants manifestaient pour réclamer le départ des milices de la capitale. Ils s‘étaient approchés du QG d’une milice originaire de Misrata et baptisée Gharghour, du nom du quartier du sud de Tripoli.
Dans la soirée, en représailles aux tirs, des hommes armés ont pris d’assaut et incendié le quartier général de la milice de Misrata, installé dans d’anciennes villas des cadres du régime de Kadhafi,selon des témoins.
Alors que la manifestation était pacifique, un chef de la milice a affirmé à la chaîne privée al-Naba que des manifestants avaient tiré en premier. Les autorités et des protestataires disent le contraire.
Tout a commencé avec des tirs qui ont retenti alors que des centaines d’habitants manifestaient pour réclamer le départ des milices de la capitale. Ils s‘étaient approchés du QG d’une milice originaire de Misrata et baptisée Gharghour, du nom du quartier du sud de Tripoli.
Dans la soirée, en représailles aux tirs, des hommes armés ont pris d’assaut et incendié le quartier général de la milice de Misrata, installé dans d’anciennes villas des cadres du régime de Kadhafi,selon des témoins.
Alors que la manifestation était pacifique, un chef de la milice a affirmé à la chaîne privée al-Naba que des manifestants avaient tiré en premier. Les autorités et des protestataires disent le contraire.