A Ziguinchor, on ne parle que de ça. Trente femmes de ménages ainsi que 15 vigiles qui auraient été recrutés par le maire Abdoulaye Baldé à l’Université de Ziguinchor ont été remerciés et remplacés par de militants de l'Alliance pour la république (Apr). Un licenciement jugé politique par les victimes. Le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Benoit Sambou qui était en Casamance a eu vent de cette affaire et a condamné avec la dernière énergie les motivations de ceux qui ont pris cette décision. « Ils sont en train de combattre le Président Macy Sall en posant de tels actes. Je leur dis de rectifier le tir avant qu’il ne soit trop tard. On ne doit plus licencier des gens parce qu’ils appartiennent à une formation politique ou à une autre. Ce sont des pratiques à bannir à jamais », éructe Benoit Sambou. Qui promet d’y remédier dans les meilleurs délais.
Licenciement « politique » de 30 femmes à l’Université de Ziguinchor : Benoit Sambou condamne et promet d’y remédier
SETAL.NET – Le licenciement qualifié de politique de 30 femmes de ménage et de 15 vigiles à l’université de Ziguinchor a mis le ministre de la Jeunesse dans une colère noire. Selon Benoit Sambou un tel procédé est à combattre et il promettre d’y remédier.
Abdou Khadre Cissé
Mardi 12 Février 2013 13:52
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