Le mandataire de l’hoirie Khayat, propriétaire du ranch de Ouassadou, Gilbert Khayat a sollicité cet après-midi à Dakar, l’arbitrage de l’Etat dans un dossier relatif à un litige foncier, selon lui « envenimé » par la société civile régionale.
« Ce qui bloque le projet, c’est essentiellement l’espoir que les populations puissent récupérer ces terres un jour, espoir qui va contre la constitution et qui est orchestré savamment par la société civile qui va jusqu’à organiser des forums à Ouassadou ou ailleurs, et qui explique aux villageois « continuez comme cela, la nouvelle réforme foncière va vous donner les titres fonciers ». Mais c’est faire abstraction de beaucoup de paramètres légaux et humains », dira M. Khayat.
D’ailleurs, sur cette affaire, des agents ont été battus « et ils nous ont fait perdre une saison complète, ils ont faussé un programme que j’avais promis au ministre de l’élevage, en plus de fracturer la mâchoire d’un ancien agent de la société, ils ont battu une autre personne et ont cassé deux tracteurs ».
Quatre personnes ont été condamnées à la suite de cette affaire et tous les frais ont été payés, « le dossier est fin prêt pour leur incarcération depuis fin Février, le soi-disant a été transmis à la Brigade de Dialocoto qui est à 70 km de Tamba, mais à cette date, la Gendarmerie dit ne rien avoir reçu », s’étonne t-il.
Cependant pour le mandataire de l’hoirie Khayat, « le problème est derrière nous, si nous voulons développer le Ranch de Ouassadou, il faut s’attaquer à des problèmes de plus grande importance que d’aller punir 4 personnes ».
Le but de cette conférence de presse étant donc, dira-t-il, d’informer au plus haut niveau pour que des décisions puissent être prises. « Le droit à la terre est consacré pour tout un chacun. Maintenant reste à savoir quelle décision sera prise pour fluidifier le problème. A la suite nous pourrons planifier l’avenir correctement. Il y a quelque chose d’extraordinaire, il y a plusieurs multinationales qui sont prêtes à investir lorsque cette situation foncière bancale sera résolue. Bancale parce que les gens s’installent de manière anarchique, vous ne pouvez pas développer de système d’irrigation viable, ou on fait de l’industrielle ou de l’artisanale ? Et moi je ne rentre pas dans l’artisanale ».
Pour rappel, le conflit foncier fait suite au déplacement de 13 villages du parc national du Niokolo Koba dans les titres fonciers appartenant à l’hoirie Khayat.
« Ce qui bloque le projet, c’est essentiellement l’espoir que les populations puissent récupérer ces terres un jour, espoir qui va contre la constitution et qui est orchestré savamment par la société civile qui va jusqu’à organiser des forums à Ouassadou ou ailleurs, et qui explique aux villageois « continuez comme cela, la nouvelle réforme foncière va vous donner les titres fonciers ». Mais c’est faire abstraction de beaucoup de paramètres légaux et humains », dira M. Khayat.
D’ailleurs, sur cette affaire, des agents ont été battus « et ils nous ont fait perdre une saison complète, ils ont faussé un programme que j’avais promis au ministre de l’élevage, en plus de fracturer la mâchoire d’un ancien agent de la société, ils ont battu une autre personne et ont cassé deux tracteurs ».
Quatre personnes ont été condamnées à la suite de cette affaire et tous les frais ont été payés, « le dossier est fin prêt pour leur incarcération depuis fin Février, le soi-disant a été transmis à la Brigade de Dialocoto qui est à 70 km de Tamba, mais à cette date, la Gendarmerie dit ne rien avoir reçu », s’étonne t-il.
Cependant pour le mandataire de l’hoirie Khayat, « le problème est derrière nous, si nous voulons développer le Ranch de Ouassadou, il faut s’attaquer à des problèmes de plus grande importance que d’aller punir 4 personnes ».
Le but de cette conférence de presse étant donc, dira-t-il, d’informer au plus haut niveau pour que des décisions puissent être prises. « Le droit à la terre est consacré pour tout un chacun. Maintenant reste à savoir quelle décision sera prise pour fluidifier le problème. A la suite nous pourrons planifier l’avenir correctement. Il y a quelque chose d’extraordinaire, il y a plusieurs multinationales qui sont prêtes à investir lorsque cette situation foncière bancale sera résolue. Bancale parce que les gens s’installent de manière anarchique, vous ne pouvez pas développer de système d’irrigation viable, ou on fait de l’industrielle ou de l’artisanale ? Et moi je ne rentre pas dans l’artisanale ».
Pour rappel, le conflit foncier fait suite au déplacement de 13 villages du parc national du Niokolo Koba dans les titres fonciers appartenant à l’hoirie Khayat.