L’actualité dans la capitale du N’diambour est essentiellement marquée ces derniers jours, par les Tabaski qui vont bon train.
C’est ainsi, qu’au moment où les hommes se préoccupent de trouver leurs moutons de tabaski à bon prix, les femmes quant à elles, se soucient de voir le marché correctement approvisionné en légumes de tous genres, notamment oignons, pommes de terre, et autres produits et assaisonnements destinés à accompagner le mouton. Pour ce faire, elles souhaiteraient que le prix de ces produits légumiers qui ont connu une légère augmentation ces derniers jours, soient revus à la baisse, afin de permettre à toutes les bourses de s’en procurer.
En tout cas, pour le moment, le marché ne manque pas de légumes, même s’il n’est pas encore achalandé, ce qui aurait pour conséquence de permettre le réajustement des prix à la baisse, étant entendu, qu’une offre conséquente maintiendrait les prix à un niveau acceptable. C’est en tout état de cause, ce à quoi s’attendent les femmes qui demandent que les prix soient régulés pour être à la portée de toutes les bourses.
Comme quoi, la Tabaski n’est pas seulement un problème d’achat de moutons, mais il est aussi un problème d’achat de condiments, auquel s’ajoute celui d’effets vestimentaires et de toilette, sans compter l’achat de « mèches » pour les tresses. Voilà en résumé, l’importance des dépenses qu’occasionne cette fête qui constitue un véritable casse-tête pour tout père et responsable de famille.
Correspondance particulière de MBARGOU DIOP ANCIEN JOURNALISTE A L’A.P.S.
C’est ainsi, qu’au moment où les hommes se préoccupent de trouver leurs moutons de tabaski à bon prix, les femmes quant à elles, se soucient de voir le marché correctement approvisionné en légumes de tous genres, notamment oignons, pommes de terre, et autres produits et assaisonnements destinés à accompagner le mouton. Pour ce faire, elles souhaiteraient que le prix de ces produits légumiers qui ont connu une légère augmentation ces derniers jours, soient revus à la baisse, afin de permettre à toutes les bourses de s’en procurer.
En tout cas, pour le moment, le marché ne manque pas de légumes, même s’il n’est pas encore achalandé, ce qui aurait pour conséquence de permettre le réajustement des prix à la baisse, étant entendu, qu’une offre conséquente maintiendrait les prix à un niveau acceptable. C’est en tout état de cause, ce à quoi s’attendent les femmes qui demandent que les prix soient régulés pour être à la portée de toutes les bourses.
Comme quoi, la Tabaski n’est pas seulement un problème d’achat de moutons, mais il est aussi un problème d’achat de condiments, auquel s’ajoute celui d’effets vestimentaires et de toilette, sans compter l’achat de « mèches » pour les tresses. Voilà en résumé, l’importance des dépenses qu’occasionne cette fête qui constitue un véritable casse-tête pour tout père et responsable de famille.
Correspondance particulière de MBARGOU DIOP ANCIEN JOURNALISTE A L’A.P.S.