"La lutte contre la criminalité organisée, y compris la délinquance économique et financière, appelle de notre part, de nouveaux moyens de riposte à la hauteur de l’ingéniosité des auteurs" des types de criminalité concernés, a notamment indiqué M. Ndiaye, magistrat de formation.
Il s’exprimait lundi à la cérémonie officielle d’ouverture des travaux d’un atelier de renforcement des capacités des acteurs de la saisie et du recouvrement des avoirs criminels, à l’occasion du premier anniversaire de la création de l’ONRAC.
Cette rencontre intitulée "Semaine de la saisie et du recouvrement des avoirs criminels", se tient jusqu’à vendredi à Saly-Portudal (Mbour), à l’initiative de l’Office national de recouvrement des avoirs criminels et du projet OCWAR-M (Réponse ouest-africaine au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme), mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Union européenne (UE).
"La prise en main du contentieux économique financière et l’enquête préalable s’y rapportant, entraîne inéluctablement, au-delà de l’expertise qu’il appelle, l’adaptation de nos outils de travail, si on veut résolument le maîtriser", a souligné le DG de l’ONRAC.
Il estime que cet atelier sera l’occasion pour les acteurs de la chaîne pénale, de s’approprier le nouveau dispositif de saisie, de confiscation et de recouvrement des avoirs.
"Il y a un mois, nous avons effectué une tournée nationale pour visiter les juridictions pour faire une sensibilisation, une présentation, un partage de la nouvelle structure", a-t-il signalé.
Il s’est agi par ce biais, de présenter "les missions de l’ONRAC, les objectifs, le plan stratégique et voir dans quelle mesure, ensemble, avec les acteurs de la chaine pénale et les acteurs judiciaires comme les acteurs de la Police, les enquêteurs, nous pouvons identifier les axes de collaboration et de partage", a ajouté Mor Ndiaye.
A l’en croire, le premier bilan de cette tournée "a révélé que les avoirs qui, jusque-là, font l’objet de saisie, de mesures conservatoires voire de confiscation, sur la chaîne pénale, souffrent véritablement d’un manque de suivi et de gestion".
"Cette description sommaire est la preuve symptomatique de la situation actuelle des avoirs saisis et confisqués au Sénégal, laquelle situation mérite, j’en ai la ferme conviction, que des actions de grande envergure" soient mises en œuvre "et au titre desquelles, la formation des acteurs", a déclaré le DG de l’ONRAC.
Il s’exprimait lundi à la cérémonie officielle d’ouverture des travaux d’un atelier de renforcement des capacités des acteurs de la saisie et du recouvrement des avoirs criminels, à l’occasion du premier anniversaire de la création de l’ONRAC.
Cette rencontre intitulée "Semaine de la saisie et du recouvrement des avoirs criminels", se tient jusqu’à vendredi à Saly-Portudal (Mbour), à l’initiative de l’Office national de recouvrement des avoirs criminels et du projet OCWAR-M (Réponse ouest-africaine au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme), mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Union européenne (UE).
"La prise en main du contentieux économique financière et l’enquête préalable s’y rapportant, entraîne inéluctablement, au-delà de l’expertise qu’il appelle, l’adaptation de nos outils de travail, si on veut résolument le maîtriser", a souligné le DG de l’ONRAC.
Il estime que cet atelier sera l’occasion pour les acteurs de la chaîne pénale, de s’approprier le nouveau dispositif de saisie, de confiscation et de recouvrement des avoirs.
"Il y a un mois, nous avons effectué une tournée nationale pour visiter les juridictions pour faire une sensibilisation, une présentation, un partage de la nouvelle structure", a-t-il signalé.
Il s’est agi par ce biais, de présenter "les missions de l’ONRAC, les objectifs, le plan stratégique et voir dans quelle mesure, ensemble, avec les acteurs de la chaine pénale et les acteurs judiciaires comme les acteurs de la Police, les enquêteurs, nous pouvons identifier les axes de collaboration et de partage", a ajouté Mor Ndiaye.
A l’en croire, le premier bilan de cette tournée "a révélé que les avoirs qui, jusque-là, font l’objet de saisie, de mesures conservatoires voire de confiscation, sur la chaîne pénale, souffrent véritablement d’un manque de suivi et de gestion".
"Cette description sommaire est la preuve symptomatique de la situation actuelle des avoirs saisis et confisqués au Sénégal, laquelle situation mérite, j’en ai la ferme conviction, que des actions de grande envergure" soient mises en œuvre "et au titre desquelles, la formation des acteurs", a déclaré le DG de l’ONRAC.