La 3e mi-temps du match Sénégal-Côte d’Ivoire se déroule encore. Le moment est fatidique pour le sélectionneur national Joseph Koto, pour son avenir à la tête de l’équipe nationale du Sénégal. En effet, rayé de la coupe d’Afrique des nations (can 2013), avec les lions du Sénégal, « Boud’chou » fait face à son destin, ce mardi. En outre, l’instance dirigeante du football national, via son comité exécutif, doit livrer, aujourd’hui, son verdict, après avoir examiné le rapport déposé à la table des patrons du foot sénégalais, depuis jeudi dernier. C’est donc, un « mardi gras » pour le «Sénégal foot, qui doit etre mis au courant du sort réservé à l’entraineur de l’équipe nationale. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Joseph Koto n’aura pas accompli un des objectifs fixés dans son contrat, qui consistaient, non seulement, à amener les lions à la prochaine Can 2013, en Afrique du Sud, mais à les hisser, au moins, en demi-finale.
Du coup, le Comité exécutif de la Fsf pourrait décider de mettre un terme au contrat du sélectionneur national, à l’issu de cette rencontre de tous les dangers. D’ailleurs, des voix, comme celle d’El Hadj Diouf, se sont élevées pour critiquer certains choix du technicien. Il se pourrait qu’il ait disputé son dernier match à la tête de l’équipe, le 13 octobre dernier. Et si ce cas se produisait, « Boud’Chou » serait l’entraineur le plus éphémère que la tanière a connu (six mois). En tout cas, le successeur d’Amara Traoré à la tête des lions, après cet échec, ne semble pas être dans les dispositions de rendre le tablier. Joseph Koto se veut clair : « je n’ai pas échoué. Du tout. Je suis très fier de ce qu’on a fait. Jouer contre une équipe comme la Côte d’Ivoire, réussir à marquer, chez elle, deux fois, ce n’est pas donné, surtout, compte tenu de l’arbitrage (…). Tant que les dirigeants et les joueurs me feront confiance, je continuerais le travail déjà commencé. C’est clair, je ne compte pas démissionner », avait-il déclaré, au lendemain de l’élimination des lions.
Toutefois, il va falloir admettre aussi, qu’il n’est pas aussi aisé de se débarrasser de Koto, en cette période cruciale où le Sénégal est en bonne posture, dans les qualifications au mondial 2014. Un chantier bien entamé par Koto car, occupant la place de leader de son groupe.
Tout compte fait, pour apaiser les tensions, la solution pour l’instance dirigeante du football serait, peut-être, de faire quitter l’entraîneur national dont la présence à la tête des Lions, est un accident de circonstance. Ceci pour sauver sa peau, elle qui est sommée de quitter le pouvoir.
Du coup, le Comité exécutif de la Fsf pourrait décider de mettre un terme au contrat du sélectionneur national, à l’issu de cette rencontre de tous les dangers. D’ailleurs, des voix, comme celle d’El Hadj Diouf, se sont élevées pour critiquer certains choix du technicien. Il se pourrait qu’il ait disputé son dernier match à la tête de l’équipe, le 13 octobre dernier. Et si ce cas se produisait, « Boud’Chou » serait l’entraineur le plus éphémère que la tanière a connu (six mois). En tout cas, le successeur d’Amara Traoré à la tête des lions, après cet échec, ne semble pas être dans les dispositions de rendre le tablier. Joseph Koto se veut clair : « je n’ai pas échoué. Du tout. Je suis très fier de ce qu’on a fait. Jouer contre une équipe comme la Côte d’Ivoire, réussir à marquer, chez elle, deux fois, ce n’est pas donné, surtout, compte tenu de l’arbitrage (…). Tant que les dirigeants et les joueurs me feront confiance, je continuerais le travail déjà commencé. C’est clair, je ne compte pas démissionner », avait-il déclaré, au lendemain de l’élimination des lions.
Toutefois, il va falloir admettre aussi, qu’il n’est pas aussi aisé de se débarrasser de Koto, en cette période cruciale où le Sénégal est en bonne posture, dans les qualifications au mondial 2014. Un chantier bien entamé par Koto car, occupant la place de leader de son groupe.
Tout compte fait, pour apaiser les tensions, la solution pour l’instance dirigeante du football serait, peut-être, de faire quitter l’entraîneur national dont la présence à la tête des Lions, est un accident de circonstance. Ceci pour sauver sa peau, elle qui est sommée de quitter le pouvoir.