Le Syndicat autonome des travailleurs des collectivités locales du Sénégal(Satcols), affilié à l’Unsas vient de prendre le contre-pied de l’union régionale de la Cnts sur le contentieux qui oppose la municipalité de Kaolack à ses 40 ex-travailleurs.
Faisant face cet après midi à la presse locale dans les locaux de ladite municipalité, le Satcols appelle « les travailleurs temporaires au dialogue et à la concertation afin de trouver des solutions idoines à leur douloureuse situation. »
Selon le secrétaire général Cheikh Tidiane Seck, il urge actuellement que les deux parties se réunissent autour d’une même table pour discuter sur cette affaire. « Certes, la Cour d’appel vient de donner la décision finale, mais il serait mieux de privilégier le dialogue pour que la paix puisse régner dans l’institution municipale. »
S’agissant des autorités locales, le syndicat recommande à la mairesse de Kaolack, Mariama Sarr, une gestion prévisionnelle du recrutement de ses « agents méritants ».
Rappelons que l’union régionale de la Cnts, dans le cadre de son plan d’action pour que la mairie de Kaolack mette à exécution la décision de la Cour d’appel la condamnant à payer 54 millions de nos francs à ses 40 ex-travailleurs, compte passer à la vitesse supérieure en mettant la pression sur l’édile de Kaolack.
Faisant face cet après midi à la presse locale dans les locaux de ladite municipalité, le Satcols appelle « les travailleurs temporaires au dialogue et à la concertation afin de trouver des solutions idoines à leur douloureuse situation. »
Selon le secrétaire général Cheikh Tidiane Seck, il urge actuellement que les deux parties se réunissent autour d’une même table pour discuter sur cette affaire. « Certes, la Cour d’appel vient de donner la décision finale, mais il serait mieux de privilégier le dialogue pour que la paix puisse régner dans l’institution municipale. »
S’agissant des autorités locales, le syndicat recommande à la mairesse de Kaolack, Mariama Sarr, une gestion prévisionnelle du recrutement de ses « agents méritants ».
Rappelons que l’union régionale de la Cnts, dans le cadre de son plan d’action pour que la mairie de Kaolack mette à exécution la décision de la Cour d’appel la condamnant à payer 54 millions de nos francs à ses 40 ex-travailleurs, compte passer à la vitesse supérieure en mettant la pression sur l’édile de Kaolack.