Pour sa réélection le 6 novembre prochain, Barack Obama s’est entouré d’une équipe d’hommes, actifs sur tous les fronts de la campagne. Fidèles parmi les fidèles, ils sont quasiment tous entrés au service du président sortant avant sa première élection, en novembre 2008.
Les hommes de Barack Obama sont en action, dans tout le pays, pour assurer la réélection de leur président.
Il affronte ainsi le clan républicain, en la personne de Mitt Romney, favori de la course à l’investiture républicaine.
Considéré comme un centriste du parti démocrate, il se prononce en faveur du droit à l’avortement, mais contre son financement public. Il refuse le mariage homosexuel, mais serait favorable à un pacte civil. Il est pour la peine de mort mais également pour la limitation de la vente d’armes à feu.
Sur ces quelques points, Joe Biden est le représentant idéal pour réunir quelques républicains modérés à la cause démocrate.
Colistier de Barack Obama en 2008, cet ancien sénateur du Delaware est souvent décrit comme l’arme du président pour les questions de politiques étrangères, un sujet qui l’a toujours plus passionnée que son Etat.
Il quittera son poste le 1er octobre 2010 pour être élu le 22 février 2011 à la mairie de Chicago.
A l’époque de sa nomination, Rahm Emanuel était considéré comme celui qui allait influencer Barack Obama sur sa politique au Moyen Orient. D’origine juive, il est le fils d’un ancien membre d’un groupe nationaliste sioniste émigré aux Etats-Unis dans les années 60.
Surnommé « Rahmbo » pour sa férocité dans l’adversité, il a été derrière les grandes réformes d’Obama, le premier plan de relance de 787 milliards de dollars, la généralisation de l’assurance maladie et le plan de sauvetage de l’industrie automobile.
Alors que son prédécesseur, Robert Gates, se prononçait en faveur d’un retrait partiel des troupes américaines d’Afghanistan et d’Irak, Leon Panetta s’accordait totalement avec la volonté de Barack Obama de rapatrier toutes les troupes avant la fin de son mandat.
C’est donc à lui qu’est revenue la lourde charge d’organiser ces retraits.
Cet artisan de la sortie de crise a mis tout en œuvre, pendant tout le mandat de son président, pour que la crise de 2008 ne se reproduise pas. Il se bat notamment pour exiger une plus grande transparence et une limite structurée de la prise de risques dans le monde de la finance. Selon lui, ce sont ces deux éléments qui ont conduit à la faillite de Bear Stearns et Lehamn Brothers.
Installé à Chicago également, son cabinet a conseillé de nombreuses autres personnalités politiques.
Cet avocat de profession, fermement opposé à la guerre en Afghanistan, a toujours soutenu Barack Obama dans sa politique de retrait des troupes d’Afghanistan et d’Irak.
Maire de San Antonio, au Texas, Etat des plus conservateurs, Julian Castro travaille, en tant que vice-président national de la campagne, à la réélection de son mentor.
Grâce à de nombreux meetings et réunions publiques, il s’attaque fermement aux favoris républicains, sur leur terrain, pour attirer les conservateurs.
Très populaire auprès des Américains, Bill Clinton a récemment publié « Remettons-nous au travail », ouvrage dans lequel l’ancien président révèle ses conseils aux futurs dirigeants américains. Il y décrit Barack Obama comme la bonne personne au bon moment pour les Etats-Unis.
Source: Jolpress.com
Les hommes de Barack Obama sont en action, dans tout le pays, pour assurer la réélection de leur président.
Les amis proches
Joe Biden, l’élément stable
Joe Biden n’est pas seulement le bras droit de Barack Obama, il est presque son ombre. Le vice-président des Etats-Unis est entré en campagne depuis quelques semaines et a la délicate mission de parcourir le pays à la recherche de l’électorat de la classe moyenne.Il affronte ainsi le clan républicain, en la personne de Mitt Romney, favori de la course à l’investiture républicaine.
Considéré comme un centriste du parti démocrate, il se prononce en faveur du droit à l’avortement, mais contre son financement public. Il refuse le mariage homosexuel, mais serait favorable à un pacte civil. Il est pour la peine de mort mais également pour la limitation de la vente d’armes à feu.
Sur ces quelques points, Joe Biden est le représentant idéal pour réunir quelques républicains modérés à la cause démocrate.
Colistier de Barack Obama en 2008, cet ancien sénateur du Delaware est souvent décrit comme l’arme du président pour les questions de politiques étrangères, un sujet qui l’a toujours plus passionnée que son Etat.
Rahm Emanuel, comme un ami d’enfance
Barack Obama ne pouvait pas envisager la présidence des Etats-Unis sans la présence de Rahm Emanuel auprès de lui. C’est chose faite dès le 20 janvier 2009, jour de l’investiture du président. Rahm Emanuel, cet originaire de Chicago, où Barack Obama a passé de nombreuses années, devient le premier chef de cabinet de la Maison Blanche sous l’ère Obama.Il quittera son poste le 1er octobre 2010 pour être élu le 22 février 2011 à la mairie de Chicago.
A l’époque de sa nomination, Rahm Emanuel était considéré comme celui qui allait influencer Barack Obama sur sa politique au Moyen Orient. D’origine juive, il est le fils d’un ancien membre d’un groupe nationaliste sioniste émigré aux Etats-Unis dans les années 60.
Surnommé « Rahmbo » pour sa férocité dans l’adversité, il a été derrière les grandes réformes d’Obama, le premier plan de relance de 787 milliards de dollars, la généralisation de l’assurance maladie et le plan de sauvetage de l’industrie automobile.
Les ministres des réformes d’Obama
L’acteur du retrait des troupes américaines
Leon Panetta, ancien chef de cabinet de Bill Clinton et ancien directeur général de la CIA est entré au service de Barack Obama le 1er juillet 2011 comme Secrétaire à la Défense.Alors que son prédécesseur, Robert Gates, se prononçait en faveur d’un retrait partiel des troupes américaines d’Afghanistan et d’Irak, Leon Panetta s’accordait totalement avec la volonté de Barack Obama de rapatrier toutes les troupes avant la fin de son mandat.
C’est donc à lui qu’est revenue la lourde charge d’organiser ces retraits.
Timothy Geithner, le réformateur
Entré à la Maison Blanche dès l’investiture de Barack Obama, Timothy Geithner a pris les rênes du Secrétariat au Trésor des Etats-Unis.Cet artisan de la sortie de crise a mis tout en œuvre, pendant tout le mandat de son président, pour que la crise de 2008 ne se reproduise pas. Il se bat notamment pour exiger une plus grande transparence et une limite structurée de la prise de risques dans le monde de la finance. Selon lui, ce sont ces deux éléments qui ont conduit à la faillite de Bear Stearns et Lehamn Brothers.
Les conseillers de l’ombre
David Axelrod, le stratège
Pour son image, Barack Obama a choisi David Axelrod. Cet ancien journaliste politique s’est reconverti en conseiller en communication avant de devenir le chef stratégiste de Barack Obama pendant sa campagne en 2008. A la suite de cette campagne, Barack Obama le choisira pour devenir un conseiller particulier à la Maison Blanche.Installé à Chicago également, son cabinet a conseillé de nombreuses autres personnalités politiques.
Tom Donilon pour la sécurité des Etats-Unis
Thomas E. Donilon, appelé le plus souvent Tom Donilon est entré à la Maison Blanche le 8 octobre 2010 en tant que conseiller à la sécurité nationale.Cet avocat de profession, fermement opposé à la guerre en Afghanistan, a toujours soutenu Barack Obama dans sa politique de retrait des troupes d’Afghanistan et d’Irak.
Les ouvriers de la campagne
Le latino du Texas
Grâce à Julian Castro, Barack Obama s’offre une porte vers l’électorat républicain et vers la communauté hispanique.Maire de San Antonio, au Texas, Etat des plus conservateurs, Julian Castro travaille, en tant que vice-président national de la campagne, à la réélection de son mentor.
Grâce à de nombreux meetings et réunions publiques, il s’attaque fermement aux favoris républicains, sur leur terrain, pour attirer les conservateurs.
L’artisan d’Obama 2012
Jim Messina, après avoir été président du comité des finances au Sénat jusqu’à la première élection de Barack Obama, est devenu chef de cabinet adjoint à la Maison Blanche. Dès janvier 2011, le président lui a confié la charge de sa réélection. Il est ainsi devenu responsable de la campagne Obama 2012.Son maître en politique
Après avoir soutenu la candidature de sa femme en 2008, lors des primaires démocrates, Bill Clinton, président des Etats-Unis entre 1993 et 2001 s’est immédiatement rallié au candidat choisi.Très populaire auprès des Américains, Bill Clinton a récemment publié « Remettons-nous au travail », ouvrage dans lequel l’ancien président révèle ses conseils aux futurs dirigeants américains. Il y décrit Barack Obama comme la bonne personne au bon moment pour les Etats-Unis.
Source: Jolpress.com