Investie à la sixième position et troisième femme sur la liste nationale de cette formation Mme Gueye, membre du Bureau politique de l’Urd soutient que le processus de changement, enclenché au soir du 25 mars dernier ne sera effectif qu’avec un rééquilibrage des forces politiques entre les différentes institutions chargées de la gestion des affaires du pays. «Au regard de ce qui est intervenu le 25 mars dernier, il nous parait contradictoire de donner une majorité parlementaire à la mouvance présidentielle. Le peuple a choisi la voie du changement».
Pour que «ce changement soit effectif, il faut, dit-elle, une Assemblée nationale de rupture. Une Assemblée représentative de toutes les forces politiques, avec des députés responsables qui ne seront plus là pour applaudir encore moins pour voter n’importe quel projet de loi venant du gouvernement dans le but de satisfaire les désirs du président de la République et non les préoccupations du peuple».
La nouvelle Assemblée nationale qui sortira des urnes le 1er juillet prochain, à en croire cette militante de l’Urd qui se réclame porte parole des populations de Ouakam, devra avoir comme préoccupation majeure le renforcement de la démocratie et la moralisation de la vie politique nationale. Elle promet en outre qu’une fois au perchoir sa formation combattra des pratiques telles que la transhumance et le manque d’éthique qui ont toujours prévalu au sein de la classe politique Sénégalaise.
Pratiques qui, selon elle, sont érigées en règle par certains acteurs politiques, bien que n’honorant pas des leaders qu’ils sont. «Une fois, élus, nous allons nous atteler à mettre en place des gardes fous en votant des lois pour condamner la transhumance et le favoritisme. Désormais seul le mérite et la compétence seront les sources de promotion sociale», rassure-t-elle.
L’autre axe de la bataille à mener au sein de l’hémicycle de la place Soweto devra porter sur l’emploi des jeunes et la défense des intérêts du secteur primaire comme la pêche, l’agriculture et l’élevage. Concernant le problème des terres que rencontre la population de Ouakam Mme Gueye, soutient qu’elle ne ménagera aucun effort pour pousser le gouvernement avec l’aide des autres parlementaires, à trouver une solution définitive à ce problème.
Source: SUD Quotidien
Pour que «ce changement soit effectif, il faut, dit-elle, une Assemblée nationale de rupture. Une Assemblée représentative de toutes les forces politiques, avec des députés responsables qui ne seront plus là pour applaudir encore moins pour voter n’importe quel projet de loi venant du gouvernement dans le but de satisfaire les désirs du président de la République et non les préoccupations du peuple».
La nouvelle Assemblée nationale qui sortira des urnes le 1er juillet prochain, à en croire cette militante de l’Urd qui se réclame porte parole des populations de Ouakam, devra avoir comme préoccupation majeure le renforcement de la démocratie et la moralisation de la vie politique nationale. Elle promet en outre qu’une fois au perchoir sa formation combattra des pratiques telles que la transhumance et le manque d’éthique qui ont toujours prévalu au sein de la classe politique Sénégalaise.
Pratiques qui, selon elle, sont érigées en règle par certains acteurs politiques, bien que n’honorant pas des leaders qu’ils sont. «Une fois, élus, nous allons nous atteler à mettre en place des gardes fous en votant des lois pour condamner la transhumance et le favoritisme. Désormais seul le mérite et la compétence seront les sources de promotion sociale», rassure-t-elle.
L’autre axe de la bataille à mener au sein de l’hémicycle de la place Soweto devra porter sur l’emploi des jeunes et la défense des intérêts du secteur primaire comme la pêche, l’agriculture et l’élevage. Concernant le problème des terres que rencontre la population de Ouakam Mme Gueye, soutient qu’elle ne ménagera aucun effort pour pousser le gouvernement avec l’aide des autres parlementaires, à trouver une solution définitive à ce problème.
Source: SUD Quotidien