Le nord de ce pays frontalier du Sénégal est contrôlé depuis quelques mois par le Mouvement national de libération de l’Azawat (MNLA) et le mouvement islamiste Ansar Dine, qui a exprimé sa volonté d’appliquer la charia sur tout le territoire malien.
Beaucoup d’observateurs estiment que la présence de ce groupe islamiste, qui aurait des liens avec Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), constitue une véritable menace pour toute la zone du Sahel.
Devant ses pairs africains, le président Sall, fortement applaudi durant son discours par l’assistance, a attiré l’attention de la communauté internationale sur la crise dans ce pays voisin du Sénégal.
"La situation qui prévaut au Mali, constitue […] une grave menace pour ce pays frère, mais également pour la sous-région ouest-africaine, pour notre continent et pour la paix et la sécurité dans le monde", a affirmé le chef de l’Etat.
Il a ensuite appelé à "la mobilisation de tous, à l’échelle continentale et internationale, pour mettre fin à cette crise alors qu’il est encore temps".
Le chef de l’Etat souligne qu’il entend poursuivre les engagements de ses prédécesseurs, avec comme priorité "la recherche de la paix […] aujourd’hui sérieusement mise en péril par la recrudescence des conflits et du terrorisme".
Le Mali ainsi que les autres crises sur le continent ont d’ailleurs constitué l’une des principales préoccupations de certains des neuf orateurs qui se sont succédé à la tribune.
Le président en exercice de l’Union africaine, Yayi Boni, a ainsi appelé à la mobilisation de la communauté internationale pour aider les Maliens à sortir de la crise, en soulignant sa préoccupation au sujet des mouvements terroristes, des violations des droits de l’homme dans ce pays et de la destruction du patrimoine culturel et religieux à Gao et Tombouctou.
Beaucoup d’observateurs estiment que la présence de ce groupe islamiste, qui aurait des liens avec Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), constitue une véritable menace pour toute la zone du Sahel.
Devant ses pairs africains, le président Sall, fortement applaudi durant son discours par l’assistance, a attiré l’attention de la communauté internationale sur la crise dans ce pays voisin du Sénégal.
"La situation qui prévaut au Mali, constitue […] une grave menace pour ce pays frère, mais également pour la sous-région ouest-africaine, pour notre continent et pour la paix et la sécurité dans le monde", a affirmé le chef de l’Etat.
Il a ensuite appelé à "la mobilisation de tous, à l’échelle continentale et internationale, pour mettre fin à cette crise alors qu’il est encore temps".
Le chef de l’Etat souligne qu’il entend poursuivre les engagements de ses prédécesseurs, avec comme priorité "la recherche de la paix […] aujourd’hui sérieusement mise en péril par la recrudescence des conflits et du terrorisme".
Le Mali ainsi que les autres crises sur le continent ont d’ailleurs constitué l’une des principales préoccupations de certains des neuf orateurs qui se sont succédé à la tribune.
Le président en exercice de l’Union africaine, Yayi Boni, a ainsi appelé à la mobilisation de la communauté internationale pour aider les Maliens à sortir de la crise, en soulignant sa préoccupation au sujet des mouvements terroristes, des violations des droits de l’homme dans ce pays et de la destruction du patrimoine culturel et religieux à Gao et Tombouctou.