Le chef de l'Etat sénégalais Macky Sall a réaffirmé, lundi à Dakar, sa volonté de ramener à 5 ans son mandat arrêté à 5 ans par la Constitution, dans le but de donner l'exemple et de couper court aux débats suscités par cette question. "J'ai choisi d'arrêter mon mandat à cinq ans pour ne pas susciter de débat. Ensuite, pour donner l'exemple (et faire la démonstration) que je suis capable de renoncer à deux années de pouvoir parce que je crois à ce que je fais", a-t-il dit.
Macky Sall s'exprimait lors de l'ouverture du Conseil d'administration de Open Society Fundation, en présence de l'ancien secrétaire général des Nations unies, Koffi Annan, et du milliardaire américain Georges Soros.
"J'invite mes compatriotes à travailler dans la direction de la consolidation de la démocratie et de l'Etat de droit", a-t-il dit, en rappelant la mise en place de la commission chargée de piloter la réforme des institutions sous la direction du professeur Amadou Mactar Mbow.
Le président de la République a déclaré que sa volonté de limiter à cinq ans son mandat renouvelable une seule fois vise à faire en sorte que cette ne devienne plus un objet de débat en rapport avec la forme républicaine de l'Etat.
"Il faudra calibrer et caler", a ajouté le président Macky Sall, avant de rappeler les violences nées des troubles préélectoraux de 2011, sous l'ancien président Abdoulaye Wade qu'il a remplacé le 25 mars 2012.
Macky Sall s'exprimait lors de l'ouverture du Conseil d'administration de Open Society Fundation, en présence de l'ancien secrétaire général des Nations unies, Koffi Annan, et du milliardaire américain Georges Soros.
"J'invite mes compatriotes à travailler dans la direction de la consolidation de la démocratie et de l'Etat de droit", a-t-il dit, en rappelant la mise en place de la commission chargée de piloter la réforme des institutions sous la direction du professeur Amadou Mactar Mbow.
Le président de la République a déclaré que sa volonté de limiter à cinq ans son mandat renouvelable une seule fois vise à faire en sorte que cette ne devienne plus un objet de débat en rapport avec la forme républicaine de l'Etat.
"Il faudra calibrer et caler", a ajouté le président Macky Sall, avant de rappeler les violences nées des troubles préélectoraux de 2011, sous l'ancien président Abdoulaye Wade qu'il a remplacé le 25 mars 2012.