La patrie avant le parti, tel est le slogan du président tout nouvellement élu du Sénégal. Dans ma jeunesse révoltée et révolutionnaire, je me souviens que nous disions la patrie avant tout. Le président Macky Sall devrait s'inspirer de ce cri patriotique pour mettre un terme aux ambitions innommables de tous les coalisés, qui de plus en plus affichent leur vrai visage.
La Patrie avant les partis, dirai-je même.
Bien sûr, j'entendrai des lieux communs du genre, " oui on est allé avec lui au second tour, c'est la coalition qui a été élue, Macky est un président par défaut, Macky n'a pas été élu, c'est Wade qui a été dégagé etc etc....". Quel manque de respect pour la plus belle démocratie du monde!!!! Je crois pouvoir dire sans risque de me tromper que jamais dans l'histoire politique internationale, un parti politique aussi jeune, quasi embryonnaire, n’a été au commande d'un état. L'expansion de l'APR mérite que l'on s'y attarde un peu. Partout dans le monde, dans tous les recoins de la planète où des Sénégalais sont répertoriés se créent et de façon exponentielle, des coordinations générales de ce parti. Aucun pouvoir politique n'a réussi une massification pareille sans user de torture et de contrainte.
Il m'arrive même d'en avoir peur pour notre démocratie: si tous les sénégalais sont à l'APR, que restera t-il de l'opposition? D'aucun me diront qu'il y a beaucoup de transhumants qui veulent leur part du gâteau républicain. Certes il faut séparer le bon grain de l'ivraie, mais pour ça il y a des jeux politiciens et des sanctions qui en découleront lorsque l'électeur sera appelé aux urnes. Les sénégalais avaient besoin de changement et je ne parle pas du fameux Sopi de maître Wade, d'un changement de politique, pas de politicien. Et la seule personne qui pouvait incarner le changement se trouvait être Macky Sall, le seul inconnu au bataillon pré alternance de 2000. Le paysage politique sénégalais était le même, juste légèrement secoué par un jeu de chaise musicale de transhumance mais les mêmes vautours ont tourné sans cesse autour de la charogne qu'était le pays.
Mr Macky Sall, quelque reproche qu'on puisse lui faire, et dont je ne doute il répondra quand il s'agira d'y répondre, a montré à tout le Sénégal qu'il n'appréciait point les méthodes et les agissements de Karim Wade, alors Super patron de l'Anoci et lui a demandé de se justifier. Quel autre homme politique sénégalais aurait osé ce que Macky a osé en étant membre du parti au pouvoir. Quand on sait que l'homme politique Sénégalais " gnakk lay bagn" et qu'il est champion pour chanter les louanges de son patron, il faudrait certainement admettre le courage politique de Mr Macky Sall. Avec cet acte posé, il aurait pu se brûler définitivement les ailes mais il faisait déjà preuve de cette rupture qu'il annoncera plus tard dans sa façon de fonctionner, en ayant, au lendemain de la création de son parti, pris le taureau par les cornes. Sa campagne de massification était déjà lancée et ciblait le Sénégal des profondeurs, les villages du fin fond du pays qui ne voyaient nos politiciens qu'au moment des campagnes électorales. Les épris de changement, que dis-je? De nouveauté, l'ont plébiscité, et j'insiste la dessus. Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Rendons au peuple sénégalais son courage, sa ténacité et sa maturité. Les choix d'un peuple pareil sont conscients et leur choix était d'élire Macky et personne d'autre. Il était devant tous les dinosaures de la politique sénégalaise et ce sont les sénégalais qui l'ont voulu.
Ceux qui ont accompagné Macky dans la coalition doivent se conformer à la rupture prônée par le nouveau président. Et cette rupture c'est le retour à la raison qui veut qu'un dirigeant est comme un père de famille pour ses administrés.
S'occuper de ses enfants, de leur subsistance et de leur bien être, tels sont les devoirs d'un père de famille. S'occuper de son peuple, lui assurer subsistance et bien être, tels sont les devoirs de nos dirigeants. Macky Sall doit trier, et le temps le lui permettra, dans Benno Bokk Yakkar, ceux qui sont prêts à faire leur ce sacerdoce et ceux qui ne le sont pas. La rupture lui exige de s'entourer d'hommes d'état et non de politiciens car comme disait l'autre, " le politicien pense à la prochaine élection, et l'homme d'état, à la prochaine génération".
Les municipales arrivent à grands pas et déjà, ça rut sec dans les brancards. Les ambitions politiques commencent à s'afficher sans gêne et sans scrupule. C'est le moment pour le président et son parti de jouir pleinement du plébiscite que le peuple sénégalais lui a accordé. C'est le moment de sonder l'ampleur de la popularité du parti en y allant seul, un moyen indéniable de parfaire l'implantation du parti dans le pays. Y aller seuls constituera un referendum pour Macky et la victoire écrasante qui se profile à l'horizon le légitimera encore plus dans sa quête du yoonou yokouté. En reprenant le fil de l'actualité politique ces derniers mois au Sénégal, je me suis rendu compte que beaucoup de partis politiques ne saisissent pas le sens intrinsèque du terme Nouveau Type de Sénégalais. Le NTS n'existera que parce qu'existe le NTP (Nouveau Type de Politicien). Et pour le moment seul Macky l'incarne, comme il l'a incarné, devant Wade et fils, Doudou Wade et devant tous les caïmans de l'ancien régime.
Biens mal acquis.
La CREI est anticonstitutionnelle lis-je par ci et par là. Que nenni!!! En tant que père de famille, on vole la pitance de mes enfants, je connais le voleur, soyez certains que par tous les moyens, je tenterai de récupérer le dû de mes enfants. Comment peut-on critiquer la volonté de Macky de vouloir à tout prix la restitution des deniers publics spoliés au peuple? c'est innommable, d'autant plus que , contrairement au père de famille et au voleur cité un peu plus haut, les voleurs de l'état peuvent se défendre et fournir les preuves de leur innocence si tant est qu'ils le sont. Le président, dans ses prérogatives peut ériger des lois dans la recherche du bonheur de son peuple. Le défunt Hugo Chavez nous en a donné l'exemple en instituant des lois afin de partager équitablement les dividendes tirées des richesses du pays, entre ses administrés. L'amour que son peuple lui portait s'est bien ressenti lors de ses funérailles.
Platon ne disait-il pas que " les lois sont inspirées d'une idée préalable, même confuse, de ce qu'est la justice"? La justice, le peuple la réclame et Macky le lui a promis dans sa campagne. Cette loi sur les biens mal acquis ne repose pas sur la force arbitraire de l'état, ni sur la force des plus forts, ou des plus faibles qui prennent leurs revanche sur les meilleurs, c'est à dire sur des calculs d'intérêt qui n'ont rien à voir avec un quelconque souci de justice. Elle manifeste bien plutôt une volonté commune de réaliser le bien commun du pays et de ressortir chez tout dirigeant cette capacité, présente, aussi fragile soit elle, de se conduire selon les aspirations du peuple et non selon ses passions; elle présuppose surtout à l'avenir, le dévouement au peuple et la possibilité de regarder au -delà de ses intérêts égoïstes.
Ceux qui n'ont rien à se reprocher n'ont rien à craindre. C'est un devoir citoyen de répondre à la justice de son pays et un homme innocent le criera sur tous les toits et devant toutes les juridictions quelles qu'elles soient, légales ou pas.
Que reste t-il de l'opposition sénégalaise? Devrions-nous avoir peur pour notre démocratie?
Le PDS est en mode zombie et même si l'APR a phagocyté quasi tous les autres partis, je demeure confiant pour notre exception démocratique. Je n'ai d'ailleurs pas compris la réaction de beaucoup de gens à la suite du retour sur scène de Y'en a Marre. Il faut des gardes fou à notre démocratie parce que le peuple dit " plus jamais ça, plus jamais d'alternoce". Le président, en bon démocrate sait pertinemment qu’à l'instar d'une équipe de sport collectif, la concurrence pousse à toujours vouloir élever plus haut l'étendard de l'excellence. Macky Sall a besoin des mouvements citoyens de contestation pour exister et se surpasser. Il n'est pas dupe et a une lecture scolastique de la vie politique sénégalaise. Il sait faire la part des choses et sait pertinemment que tant que l'APR restera dans BBY, sa seule opposition véritable sera YEM.
Bilan un an après les élections
Le peuple Sénégalais est mûr, réfléchi et très politisé. Critiquer un bilan présidentiel est de bonne guerre, ça me conforte dans la puissance de notre démocratie. Mais il faut savoir raison garder. Quand Macky s'est présenté à nous, il nous a demandé de lui donner le pouvoir pour au moins cinq ans et à ce terme on pourra faire le bilan avec lui, l'avaliser ou l'infirmer. Mais de grâce laisser le travailler. Laisser lui monter ce qu'il a dans le ventre comme il l'a montré à Wade et consort sans que qui que ce soit ne lui demande… Quand il parle de rupture, cela sou tend de quasi tout recommencer à zéro. Il s'agit là de toute une mentalité à formater et il faudra du temps pour réinsuffler de l'enthousiasme, moteur de tout développement, au peuple Sénégalais. Comme disait le chanteur de reggae, Peter Tosh, " tout le monde veut aller au paradis mais personne ne veut mourir". Si on a envie que notre pays se développe, il faut se bouger, changer nos mentalité, et avoir cet enthousiasme d'entreprendre sans laquelle toute tentative de progression est vouée à l'échec. Macky tout seul n'y arrivera pas. Ceux qui ont adhéré à son parti le savent et vont l'y aider. ceux qui ne sont pas dans son parti ne doivent s'opposer que pour que vive la démocratie car l'opposition par défaut tue le développement. La patrie avant tout veut dire qu'il incombe à tout sénégalais d'œuvrer pour le bien être du peuple.
Alpha Thiam
Bruxelles
Chef d'entreprise
Secrétaire à l'organisation
Apr Bénélux
La Patrie avant les partis, dirai-je même.
Bien sûr, j'entendrai des lieux communs du genre, " oui on est allé avec lui au second tour, c'est la coalition qui a été élue, Macky est un président par défaut, Macky n'a pas été élu, c'est Wade qui a été dégagé etc etc....". Quel manque de respect pour la plus belle démocratie du monde!!!! Je crois pouvoir dire sans risque de me tromper que jamais dans l'histoire politique internationale, un parti politique aussi jeune, quasi embryonnaire, n’a été au commande d'un état. L'expansion de l'APR mérite que l'on s'y attarde un peu. Partout dans le monde, dans tous les recoins de la planète où des Sénégalais sont répertoriés se créent et de façon exponentielle, des coordinations générales de ce parti. Aucun pouvoir politique n'a réussi une massification pareille sans user de torture et de contrainte.
Il m'arrive même d'en avoir peur pour notre démocratie: si tous les sénégalais sont à l'APR, que restera t-il de l'opposition? D'aucun me diront qu'il y a beaucoup de transhumants qui veulent leur part du gâteau républicain. Certes il faut séparer le bon grain de l'ivraie, mais pour ça il y a des jeux politiciens et des sanctions qui en découleront lorsque l'électeur sera appelé aux urnes. Les sénégalais avaient besoin de changement et je ne parle pas du fameux Sopi de maître Wade, d'un changement de politique, pas de politicien. Et la seule personne qui pouvait incarner le changement se trouvait être Macky Sall, le seul inconnu au bataillon pré alternance de 2000. Le paysage politique sénégalais était le même, juste légèrement secoué par un jeu de chaise musicale de transhumance mais les mêmes vautours ont tourné sans cesse autour de la charogne qu'était le pays.
Mr Macky Sall, quelque reproche qu'on puisse lui faire, et dont je ne doute il répondra quand il s'agira d'y répondre, a montré à tout le Sénégal qu'il n'appréciait point les méthodes et les agissements de Karim Wade, alors Super patron de l'Anoci et lui a demandé de se justifier. Quel autre homme politique sénégalais aurait osé ce que Macky a osé en étant membre du parti au pouvoir. Quand on sait que l'homme politique Sénégalais " gnakk lay bagn" et qu'il est champion pour chanter les louanges de son patron, il faudrait certainement admettre le courage politique de Mr Macky Sall. Avec cet acte posé, il aurait pu se brûler définitivement les ailes mais il faisait déjà preuve de cette rupture qu'il annoncera plus tard dans sa façon de fonctionner, en ayant, au lendemain de la création de son parti, pris le taureau par les cornes. Sa campagne de massification était déjà lancée et ciblait le Sénégal des profondeurs, les villages du fin fond du pays qui ne voyaient nos politiciens qu'au moment des campagnes électorales. Les épris de changement, que dis-je? De nouveauté, l'ont plébiscité, et j'insiste la dessus. Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Rendons au peuple sénégalais son courage, sa ténacité et sa maturité. Les choix d'un peuple pareil sont conscients et leur choix était d'élire Macky et personne d'autre. Il était devant tous les dinosaures de la politique sénégalaise et ce sont les sénégalais qui l'ont voulu.
Ceux qui ont accompagné Macky dans la coalition doivent se conformer à la rupture prônée par le nouveau président. Et cette rupture c'est le retour à la raison qui veut qu'un dirigeant est comme un père de famille pour ses administrés.
S'occuper de ses enfants, de leur subsistance et de leur bien être, tels sont les devoirs d'un père de famille. S'occuper de son peuple, lui assurer subsistance et bien être, tels sont les devoirs de nos dirigeants. Macky Sall doit trier, et le temps le lui permettra, dans Benno Bokk Yakkar, ceux qui sont prêts à faire leur ce sacerdoce et ceux qui ne le sont pas. La rupture lui exige de s'entourer d'hommes d'état et non de politiciens car comme disait l'autre, " le politicien pense à la prochaine élection, et l'homme d'état, à la prochaine génération".
Les municipales arrivent à grands pas et déjà, ça rut sec dans les brancards. Les ambitions politiques commencent à s'afficher sans gêne et sans scrupule. C'est le moment pour le président et son parti de jouir pleinement du plébiscite que le peuple sénégalais lui a accordé. C'est le moment de sonder l'ampleur de la popularité du parti en y allant seul, un moyen indéniable de parfaire l'implantation du parti dans le pays. Y aller seuls constituera un referendum pour Macky et la victoire écrasante qui se profile à l'horizon le légitimera encore plus dans sa quête du yoonou yokouté. En reprenant le fil de l'actualité politique ces derniers mois au Sénégal, je me suis rendu compte que beaucoup de partis politiques ne saisissent pas le sens intrinsèque du terme Nouveau Type de Sénégalais. Le NTS n'existera que parce qu'existe le NTP (Nouveau Type de Politicien). Et pour le moment seul Macky l'incarne, comme il l'a incarné, devant Wade et fils, Doudou Wade et devant tous les caïmans de l'ancien régime.
Biens mal acquis.
La CREI est anticonstitutionnelle lis-je par ci et par là. Que nenni!!! En tant que père de famille, on vole la pitance de mes enfants, je connais le voleur, soyez certains que par tous les moyens, je tenterai de récupérer le dû de mes enfants. Comment peut-on critiquer la volonté de Macky de vouloir à tout prix la restitution des deniers publics spoliés au peuple? c'est innommable, d'autant plus que , contrairement au père de famille et au voleur cité un peu plus haut, les voleurs de l'état peuvent se défendre et fournir les preuves de leur innocence si tant est qu'ils le sont. Le président, dans ses prérogatives peut ériger des lois dans la recherche du bonheur de son peuple. Le défunt Hugo Chavez nous en a donné l'exemple en instituant des lois afin de partager équitablement les dividendes tirées des richesses du pays, entre ses administrés. L'amour que son peuple lui portait s'est bien ressenti lors de ses funérailles.
Platon ne disait-il pas que " les lois sont inspirées d'une idée préalable, même confuse, de ce qu'est la justice"? La justice, le peuple la réclame et Macky le lui a promis dans sa campagne. Cette loi sur les biens mal acquis ne repose pas sur la force arbitraire de l'état, ni sur la force des plus forts, ou des plus faibles qui prennent leurs revanche sur les meilleurs, c'est à dire sur des calculs d'intérêt qui n'ont rien à voir avec un quelconque souci de justice. Elle manifeste bien plutôt une volonté commune de réaliser le bien commun du pays et de ressortir chez tout dirigeant cette capacité, présente, aussi fragile soit elle, de se conduire selon les aspirations du peuple et non selon ses passions; elle présuppose surtout à l'avenir, le dévouement au peuple et la possibilité de regarder au -delà de ses intérêts égoïstes.
Ceux qui n'ont rien à se reprocher n'ont rien à craindre. C'est un devoir citoyen de répondre à la justice de son pays et un homme innocent le criera sur tous les toits et devant toutes les juridictions quelles qu'elles soient, légales ou pas.
Que reste t-il de l'opposition sénégalaise? Devrions-nous avoir peur pour notre démocratie?
Le PDS est en mode zombie et même si l'APR a phagocyté quasi tous les autres partis, je demeure confiant pour notre exception démocratique. Je n'ai d'ailleurs pas compris la réaction de beaucoup de gens à la suite du retour sur scène de Y'en a Marre. Il faut des gardes fou à notre démocratie parce que le peuple dit " plus jamais ça, plus jamais d'alternoce". Le président, en bon démocrate sait pertinemment qu’à l'instar d'une équipe de sport collectif, la concurrence pousse à toujours vouloir élever plus haut l'étendard de l'excellence. Macky Sall a besoin des mouvements citoyens de contestation pour exister et se surpasser. Il n'est pas dupe et a une lecture scolastique de la vie politique sénégalaise. Il sait faire la part des choses et sait pertinemment que tant que l'APR restera dans BBY, sa seule opposition véritable sera YEM.
Bilan un an après les élections
Le peuple Sénégalais est mûr, réfléchi et très politisé. Critiquer un bilan présidentiel est de bonne guerre, ça me conforte dans la puissance de notre démocratie. Mais il faut savoir raison garder. Quand Macky s'est présenté à nous, il nous a demandé de lui donner le pouvoir pour au moins cinq ans et à ce terme on pourra faire le bilan avec lui, l'avaliser ou l'infirmer. Mais de grâce laisser le travailler. Laisser lui monter ce qu'il a dans le ventre comme il l'a montré à Wade et consort sans que qui que ce soit ne lui demande… Quand il parle de rupture, cela sou tend de quasi tout recommencer à zéro. Il s'agit là de toute une mentalité à formater et il faudra du temps pour réinsuffler de l'enthousiasme, moteur de tout développement, au peuple Sénégalais. Comme disait le chanteur de reggae, Peter Tosh, " tout le monde veut aller au paradis mais personne ne veut mourir". Si on a envie que notre pays se développe, il faut se bouger, changer nos mentalité, et avoir cet enthousiasme d'entreprendre sans laquelle toute tentative de progression est vouée à l'échec. Macky tout seul n'y arrivera pas. Ceux qui ont adhéré à son parti le savent et vont l'y aider. ceux qui ne sont pas dans son parti ne doivent s'opposer que pour que vive la démocratie car l'opposition par défaut tue le développement. La patrie avant tout veut dire qu'il incombe à tout sénégalais d'œuvrer pour le bien être du peuple.
Alpha Thiam
Bruxelles
Chef d'entreprise
Secrétaire à l'organisation
Apr Bénélux