Le président Sall s’exprimait devant les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) qui planchaient sur le rapport du Conseil de paix et de sécurité de l'institution continentale.
Tout en indiquant qu’une solution pacifique est certes préférable à la force, le chef de l'Etat a affirmé que le continent doit ‘’sans tarder se tenir prêt''.
Il a à cet égard exhorté à la prise de ‘’décisions fortes et sans équivoque pour exprimer la volonté de faire face’’ à la crise au Mali. ‘’Il nous faut agir et agir vite’’, a lancé le chef de l’Etat sénégalais devant ses pairs africains, estimant que ‘’les milices qui occupent le Nord Mali ne peuvent être stoppées par des déclarations’’.
Le président Sall préconise d’’’appuyer la médiation’’ de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l'Ouest (CEDEAO) par ‘’des moyens militaires’’, en rappelant que la situation au Mali est l’une des conséquences de la crise libyenne.
Pour Macky Sall, il importe donc d’’’agir ici et maintenant’’, à travers l’adoption d’’’une résolution ferme et claire pour soutenir la CEDEAO’’.
‘’Monter une force’’ n’exclut toutefois pas le dialogique, a indiqué le chef de l’Etat qui a voulu dès l’entame de son discours ‘’attirer l’attention sur la gravité de la situation au Mali.
Selon lui, on est en face d’’’une crise et d’un cas unique’’, avec notamment une crise institutionnelle, des activités terroristes et des trafics de ‘’toutes sortes’’.
Chacun de ces aspects constitue ‘’un sujet de grave préoccupation'', a-t-il dit, insistant sur la nécessité de ‘’sortir des discours''.
Il faut par conséquent ‘’sortir des discours’’ pour aller ‘’vers l’action’’ et ‘’la prises de décisions’’, a dit le chef de l’Etat, qui en appelé à l’’’élargissement du gouvernement de transition qui doit revêtir un caractère plus inclusif''.
‘’Il faut assurer la sécurisation des institutions de la transition’’, a-t-il poursuivi, incitant à ‘’exiger le retrait des militaires de la scène politique’’.
Le Mali vit une crise politique depuis le coup d’Etat du 22 mars, qui a renversé le président Amadou Toumani Touré.
La partie nord du pays est aux mains des rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et surtout des groupes islamistes Ansar Dine et Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO) et de leur allié Aqmi.
Tout en indiquant qu’une solution pacifique est certes préférable à la force, le chef de l'Etat a affirmé que le continent doit ‘’sans tarder se tenir prêt''.
Il a à cet égard exhorté à la prise de ‘’décisions fortes et sans équivoque pour exprimer la volonté de faire face’’ à la crise au Mali. ‘’Il nous faut agir et agir vite’’, a lancé le chef de l’Etat sénégalais devant ses pairs africains, estimant que ‘’les milices qui occupent le Nord Mali ne peuvent être stoppées par des déclarations’’.
Le président Sall préconise d’’’appuyer la médiation’’ de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l'Ouest (CEDEAO) par ‘’des moyens militaires’’, en rappelant que la situation au Mali est l’une des conséquences de la crise libyenne.
Pour Macky Sall, il importe donc d’’’agir ici et maintenant’’, à travers l’adoption d’’’une résolution ferme et claire pour soutenir la CEDEAO’’.
‘’Monter une force’’ n’exclut toutefois pas le dialogique, a indiqué le chef de l’Etat qui a voulu dès l’entame de son discours ‘’attirer l’attention sur la gravité de la situation au Mali.
Selon lui, on est en face d’’’une crise et d’un cas unique’’, avec notamment une crise institutionnelle, des activités terroristes et des trafics de ‘’toutes sortes’’.
Chacun de ces aspects constitue ‘’un sujet de grave préoccupation'', a-t-il dit, insistant sur la nécessité de ‘’sortir des discours''.
Il faut par conséquent ‘’sortir des discours’’ pour aller ‘’vers l’action’’ et ‘’la prises de décisions’’, a dit le chef de l’Etat, qui en appelé à l’’’élargissement du gouvernement de transition qui doit revêtir un caractère plus inclusif''.
‘’Il faut assurer la sécurisation des institutions de la transition’’, a-t-il poursuivi, incitant à ‘’exiger le retrait des militaires de la scène politique’’.
Le Mali vit une crise politique depuis le coup d’Etat du 22 mars, qui a renversé le président Amadou Toumani Touré.
La partie nord du pays est aux mains des rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et surtout des groupes islamistes Ansar Dine et Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO) et de leur allié Aqmi.