Procédant au lancement du programme relatif à la Couverture maladie universelle (CMU), le chef de l’Etat déclarait n’être obnubilé par un second mandat. Mais la vérité semble tout autre. En tout cas, si on s’en réfère au quotidien l’Observateur de ce jour, le président de la République et son entourage ne jurent que par son second mandat à la tête du pays.
D’ailleurs, ce serait l’une des raisons principales du report des élections municipales même si l’on veut faire croire que c’est l’acte III de la décentralisation qui en est la cause. En effet, le Premier ministre Aminata Touré a donné un entretien à Radio France internationale et a évoqué le possible report des élections locales de 2014. Une façon pour le régime actuel de préparer les élections présidentielles de 2017.
Conscient que les locales sont un test grandeur nature pour les joutes de 2017 et que son parti (Apr) n’est pas implanté au niveau national, Macky Sall ne veut pas prendre le risque de tenir ces élections locales en mars 2014. L’Observateur révèle en outre que le président aurait reconnu devant ses proches que son parti risquait gros si les élections locales sont maintenues à leur date initiale. Et comme il ne veut pas prendre ce risque, il a pris la décision de repousser ces joutes de trois mois pour permettre à son parti d’être dans les dispositions de gagner le maximum de localités. Ce qui lui assurerait un second mandat.
D’ailleurs, ce serait l’une des raisons principales du report des élections municipales même si l’on veut faire croire que c’est l’acte III de la décentralisation qui en est la cause. En effet, le Premier ministre Aminata Touré a donné un entretien à Radio France internationale et a évoqué le possible report des élections locales de 2014. Une façon pour le régime actuel de préparer les élections présidentielles de 2017.
Conscient que les locales sont un test grandeur nature pour les joutes de 2017 et que son parti (Apr) n’est pas implanté au niveau national, Macky Sall ne veut pas prendre le risque de tenir ces élections locales en mars 2014. L’Observateur révèle en outre que le président aurait reconnu devant ses proches que son parti risquait gros si les élections locales sont maintenues à leur date initiale. Et comme il ne veut pas prendre ce risque, il a pris la décision de repousser ces joutes de trois mois pour permettre à son parti d’être dans les dispositions de gagner le maximum de localités. Ce qui lui assurerait un second mandat.