En disant cela, le chef de l’Etat ne parlait pas en l’air. Il a joint l’acte à la parole et à en croire Libération de ce samedi 14 septembre, le gouvernement à travers le ministère des Infrastructures et des Transports a sollicité de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) une autorisation de conclure avec des entreprises étrangères, principalement chinoises, des marchés par entente directe concernant la réalisation de différents projets dont l’autoroute à ménage Diamniadio-Thiès-Diourbel-Touba, neuf ponts, la réhabilitation du chemin de fer Dakar-Bamako par le sud, la construction du chemin de fer aéroport Diass-Dakar. D’après les sources du quotidien Libération, tous ses travaux de haute portée nécessiteront 1000 milliards de francs CFA, dont les 400 iront vers l’autoroute à péage.
La réponse de l’Armp a été de signifier à l’Etat que pour une autorisation d’un marché de gré à gré, il doit impérativement suivre la procédure définie par la réglementation en vigueur qui est d’adresser, dans un premier temps, la demande à l’organe chargé du contrôle à priori (la Direction centrale des marchés publics), puis, dans un second temps, demander l’arbitrage du Comité de règlement des différends de l’Armp en cas de réponse défavorable.
Mais considérant que le Sénégal n’a pas intérêt a différer l’exécution de ces projets, l’Armp est d’avis qu’il faut autoriser la signature de ces contrats commerciaux tout en précisant que les couts qui y sont portés sont indicatifs et définitifs qu’après contre-expertise des aspects techniques, environnementaux, financiers juridiques par la partie sénégalaise, au moment de la conclusion des projets.
La réponse de l’Armp a été de signifier à l’Etat que pour une autorisation d’un marché de gré à gré, il doit impérativement suivre la procédure définie par la réglementation en vigueur qui est d’adresser, dans un premier temps, la demande à l’organe chargé du contrôle à priori (la Direction centrale des marchés publics), puis, dans un second temps, demander l’arbitrage du Comité de règlement des différends de l’Armp en cas de réponse défavorable.
Mais considérant que le Sénégal n’a pas intérêt a différer l’exécution de ces projets, l’Armp est d’avis qu’il faut autoriser la signature de ces contrats commerciaux tout en précisant que les couts qui y sont portés sont indicatifs et définitifs qu’après contre-expertise des aspects techniques, environnementaux, financiers juridiques par la partie sénégalaise, au moment de la conclusion des projets.