L’action politique doit s’inscrire dans une dynamique tendant à améliorer les conditions de vie des populations de la Cité. Une telle démarche passe, de prime à abord, par une meilleure gestion des ressources de la Nation. Hélas, le système wadien sanctionné démocratiquement au soir du 25 Mars 2012 agissait aux antipodes des principes indiqués ci-dessus : forfaiture, népotisme, intempérance, gabegie étaient leurs principales caractéristiques amenant notre économie à traverser une véritable récession avec son cortège de malheurs.
Dès son accession à la magistrature suprême, la première préoccupation du Président Macky Sall était d’assainir les finances publiques afin de gagner à nouveau la confiance des bailleurs mais également de restaurer les valeurs symbolisant une République. Les audits, qui semblent perturber les libéraux entrent dans cette logique. Car l’obligation de rendre compte est un paradigme essentiel en matière de bonne gouvernance et de démocratie.
A mon avis, les anciens gouvernants devraient être honorés de jouir de cette bonne occasion dans un pays de vitalité démocratique comme le notre, de s’expliquer limpidement de la manière dont ils ont utilisé l’argent du contribuable. Mais animés d’une mauvaise foi et conscients de leurs différents manquements, ils dédaignent de se soumettre à cet élan de transparence tant cautionné par la nation dans sa totalité. Le comble n’est-il pas été atteint par cette dite motion de censure qui laisse apparaître qu’ils rament à contre courant de la volonté des Sénégalais. Pire, l’affaire Alioune Aidara Sylla, une grande nébuleuse financière, qui défraie la chronique montre que le régime sortant s’apparente à un véritable « macky » où les agents et mercenaires agissent, bon droit ou mauvais droit, au seul gré du chef Wade.
Ainsi, la restauration de notre République passe inéluctablement par le démantèlement sans rémission du « macky wadien ». L’audit, quel que soit le coût des diatribes et d’invectives proférés par les anciens gouvernants, nous permettra à jamais de s’enquérir de la vraie boulimie financière du régime sortant car le cadavre bouge, il faut l’enterrer.
Sadibou BA
Coordonnateur Mouvement VIGILANCE
Rapporteur Commission Stratégie Politique Coalition Macky2012
Dès son accession à la magistrature suprême, la première préoccupation du Président Macky Sall était d’assainir les finances publiques afin de gagner à nouveau la confiance des bailleurs mais également de restaurer les valeurs symbolisant une République. Les audits, qui semblent perturber les libéraux entrent dans cette logique. Car l’obligation de rendre compte est un paradigme essentiel en matière de bonne gouvernance et de démocratie.
A mon avis, les anciens gouvernants devraient être honorés de jouir de cette bonne occasion dans un pays de vitalité démocratique comme le notre, de s’expliquer limpidement de la manière dont ils ont utilisé l’argent du contribuable. Mais animés d’une mauvaise foi et conscients de leurs différents manquements, ils dédaignent de se soumettre à cet élan de transparence tant cautionné par la nation dans sa totalité. Le comble n’est-il pas été atteint par cette dite motion de censure qui laisse apparaître qu’ils rament à contre courant de la volonté des Sénégalais. Pire, l’affaire Alioune Aidara Sylla, une grande nébuleuse financière, qui défraie la chronique montre que le régime sortant s’apparente à un véritable « macky » où les agents et mercenaires agissent, bon droit ou mauvais droit, au seul gré du chef Wade.
Ainsi, la restauration de notre République passe inéluctablement par le démantèlement sans rémission du « macky wadien ». L’audit, quel que soit le coût des diatribes et d’invectives proférés par les anciens gouvernants, nous permettra à jamais de s’enquérir de la vraie boulimie financière du régime sortant car le cadavre bouge, il faut l’enterrer.
Sadibou BA
Coordonnateur Mouvement VIGILANCE
Rapporteur Commission Stratégie Politique Coalition Macky2012
Au nom de la Nation et de la République (Par Madiambal DIAGNE)
