Un total de 49 personnes ont fait part de leur volonté d'être candidats à l'élection présidentielle du 24 juillet, a annoncé dimanche la Cour électorale spéciale (CES) de Madagascar, après la clôture du dépôt des candidatures. Parmi elles, 17 prétendants n'appartiennent à aucune formation politique.
Trois noms se détachent de cette liste constituée de candidats potentiels venus de tous les horizons: Lalao Ravalomanana, épouse de l'ancien président Marc Ravalomanana - renversé en 2009 et exilé depuis en Afrique du Sud -, Didier Ratsiraka - chef de l'Etat de 1975 à 1993 et de 1997 à 2002 - et Edgar Razafindravahy, le candidat du TGV, parti de l'actuel homme fort de Madagascar Andry Rajoelina.
Le scrutin doit mettre fin à la crise politique qui ronge Madagascar depuis le renversement de Marc Ravalomanana par le maire d'Antananarivo Andry Rajoelina. Ce dernier est devenu le dirigeant non élu d'un régime de transition en attendant l'organisation d'élections démocratiques.
Après de longues négociations infructueuses, les deux hommes ont renoncé à se présenter. Et tandis que M. Ravalomanana doit être représenté par sa femme, le camp Rajoelina est divisé: trois personnalités issues de la mouvance du président de la Transition, dont l'ancien Premier ministre Camille Vital, ont décidé de se présenter, ignorant la consigne de soutien à M. Razafindravahy.
Réponse le 3 mai
La CES doit faire connaître le 3 mai le nom des candidats autorisés à concourir pour le scrutin, dont le premier tour est prévu le 24 juillet, et un éventuel deuxième tour le 25 septembre.
Le code électoral exige entre autres conditions que les candidats aient résidé à Madagascar pendant six mois avant le scrutin, ce qui n'est le cas ni de Mme Ravalomanana ni de M. Ratsiraka.
Trois noms se détachent de cette liste constituée de candidats potentiels venus de tous les horizons: Lalao Ravalomanana, épouse de l'ancien président Marc Ravalomanana - renversé en 2009 et exilé depuis en Afrique du Sud -, Didier Ratsiraka - chef de l'Etat de 1975 à 1993 et de 1997 à 2002 - et Edgar Razafindravahy, le candidat du TGV, parti de l'actuel homme fort de Madagascar Andry Rajoelina.
Le scrutin doit mettre fin à la crise politique qui ronge Madagascar depuis le renversement de Marc Ravalomanana par le maire d'Antananarivo Andry Rajoelina. Ce dernier est devenu le dirigeant non élu d'un régime de transition en attendant l'organisation d'élections démocratiques.
Après de longues négociations infructueuses, les deux hommes ont renoncé à se présenter. Et tandis que M. Ravalomanana doit être représenté par sa femme, le camp Rajoelina est divisé: trois personnalités issues de la mouvance du président de la Transition, dont l'ancien Premier ministre Camille Vital, ont décidé de se présenter, ignorant la consigne de soutien à M. Razafindravahy.
Réponse le 3 mai
La CES doit faire connaître le 3 mai le nom des candidats autorisés à concourir pour le scrutin, dont le premier tour est prévu le 24 juillet, et un éventuel deuxième tour le 25 septembre.
Le code électoral exige entre autres conditions que les candidats aient résidé à Madagascar pendant six mois avant le scrutin, ce qui n'est le cas ni de Mme Ravalomanana ni de M. Ratsiraka.