Le Premier ministre de consensus Omer Beriziky a d’abord convoqué le ministre des Transports, auteur de la lettre qui aurait dissuadé la compagnie aérienne sud-africaine d’embarquer Lalao Ravalomanana samedi.
Néanmoins Omer Beriziky épargne son gouvernement et rejette indirectement la responsabilité de ces événements sur la présidence : « des décisions continuent d’être prises de façon unilatérale sans aucune concertation », affirme le communiqué officiel de la primature. « Il est nécessaire d’harmoniser les actions de l’exécutif ». Les désaccords entre la présidence et la primature ne sont pas nouveaux, mais cette fois, le ton est monté d’un cran.
La mouvance Ravalomanana de son côté hésite encore à suspendre sa participation au processus alors que l’épineuse question de l’amnistie devra être abordée ces prochaines semaines. Une amnistie qui concernera ou pas Marc Ravalomanana, condamné notamment pour la mort de manifestants pro-Rajoelina le 7 février 2009, une fusillade dont les commémorations auront lieu mardi 7 janvier.
Source: RFI
Néanmoins Omer Beriziky épargne son gouvernement et rejette indirectement la responsabilité de ces événements sur la présidence : « des décisions continuent d’être prises de façon unilatérale sans aucune concertation », affirme le communiqué officiel de la primature. « Il est nécessaire d’harmoniser les actions de l’exécutif ». Les désaccords entre la présidence et la primature ne sont pas nouveaux, mais cette fois, le ton est monté d’un cran.
La mouvance Ravalomanana de son côté hésite encore à suspendre sa participation au processus alors que l’épineuse question de l’amnistie devra être abordée ces prochaines semaines. Une amnistie qui concernera ou pas Marc Ravalomanana, condamné notamment pour la mort de manifestants pro-Rajoelina le 7 février 2009, une fusillade dont les commémorations auront lieu mardi 7 janvier.
Source: RFI