Vers une paralysie du système à la mairie de Kaolack où des travailleurs réclament au maire, Mariama Sarr, 4 mois d’arriérés de salaire. Leur troisième plan d’actions entamé hier, ces travailleurs contractuels ont haussé le ton et menacé de passer à une vitesse supérieure.
«Nous ne sommes pas des mendiants, nous réclamons ce qui nous revient de droit», ont martelé les 38 pères et mères de familles qui travaillent comme techniciens de surface, aides-soignantes, agents de nettoiement depuis 2009, à la mairie de Kaolack